1. Lettres d'une femme mariée - 6


    Datte: 25/07/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, extracon, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral init, confession, lettres, extraconj,

    ... fermes, tout d’abord en les caressant doucement à travers le tissu, puis en s’aventurant dans son décolleté pour les masser d’une façon plus énergique. Pour le remercier sans doute d’une si délicate attention, elle se tourna vers lui pour lui offrir sa bouche, mais afin de me montrer qu’elle ne m’oubliait pas, c’est à son tour qu’elle glissa sa main sous ma nuque pour m’attirer vers elle. Elle était toujours en boule, les jambes repliées, le bas du dos profondément lové dans ce moelleux canapé. Dans cette position, sa robe légère ayant glissé sur ses cuisses, son joli petit cul dénudé était désormais à portée de ma main. Je ne me suis pas privée de flatter cette partie, si appétissante, de son anatomie. Quel délice de faire courir pour la première fois mes doigts sur les reliefs vigoureux du postérieur d’une si charmante jeune femme ! Elle fit onduler son bassin de façon à accompagner et à encourager mes caresses, mais rapidement cela ne lui suffit plus. Elle n’avait pas vraiment cessé de s’accrocher littéralement à mon cou, et elle choisit ce moyen pour m’attirer encore davantage vers elle. Elle tira violemment sur l’échancrure de sa robe pour libérer un sein ravissant d’éclat laiteux et de vigueur. Son bouton rose dressé fièrement trahissait, si cela avait été nécessaire, l’état d’excitation extrême dans lequel elle se trouvait. Je me mis à téter son bourgeon d’amour… à le sucer… à l’aspirer avec voracité et cela lui plaisait, car elle appuyait désormais ma tête plus ...
    ... fortement contre son sein. Mais je dois avouer que je ne sais qui lui procurait le plus de plaisir entre Michel et moi, quand elle commença à se cabrer, comme prise de convulsions et qu’elle ne put se retenir de crier. Cette acmé de son plaisir me parut intemporelle, à la fois délicieusement prolongée… et douloureusement fugace. L’instant d’après elle parut glisser entre nos doigts telle une poupée de soie… et s’allongea lentement sur la moquette épaisse. Brusquement, nous nous sentions à la fois repus et orphelins… L’objet central de notre désir s’étant dérobé physiquement à notre convoitise quasi vampirique… Mais finalement l’espace qui s’est recréé entre nous s’est trouvé naturellement comblé par l’attirance irrésistible que nous avions l’un pour l’autre. Je me suis retrouvée dans les bras de Michel de façon naturelle. Curieusement, nous venions de satisfaire sexuellement un corps à demi nu, mais nous étions nous-mêmes toujours vêtus. Il avait bien sa braguette ouverte avec sa verge en état d’excitation et entièrement disponible… sortie crânement de son abri ! Mais un convive indiscret qui aurait fait irruption dans la pièce aurait été surpris de nous voir si élégamment habillés, avec, étendue à nos pieds, cette jolie jeune femme qui semblait évanouie de béatitude, la robe retroussée à la taille, les seins à l’air et les jambes écartées, abandonnant ainsi aux regards concupiscents les plus précieux trésors de sa féminité. Mais nous nous sentions soudain étonnamment seuls tous ...