1. Lettres d'une femme mariée - 6


    Datte: 25/07/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, extracon, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral init, confession, lettres, extraconj,

    ... d’une façon conventionnelle et attendue, prendre une nouvelle fois une part active au déroulement des opérations. Quand je suis avec toi, désormais je vis le fait de faire l’amour davantage comme la satisfaction supplémentaire de réaliser ce que je veux, au moment où je le veux, que comme la communion des premiers temps qui nous unissait dans un lien charnel, presque fusionnel. Rappelle-toi, nous avions alors l’impression que cela devait durer toujours, que se donner l’un à l’autre, l’un dans l’autre, c’était toujours parvenir à jouir ensemble d’une façon inégalable. Cela nous donnait un sentiment de puissance à deux… qui s’est bien vite émoussé ! L’illusion de la fusion amoureuse disparue, il ne nous restait plus qu’à essayer le plus possible de faire coïncider notre désir avec le désir de l’autre… Mais là aussi, j’ai bien vite constaté que dans les faits c’était le plus souvent impossible, d’autant plus que notre éducation et notre tempérament ne nous préparaient ni l’un ni l’autre à nous livrer réellement quand il s’agissait d’exprimer un désir sexuel. À partir de ce moment j’ai commencé de plus en plus souvent à faire semblant… Semblant de jouir, semblant d’être comblée, et j’ai fait semblant de croire qu’ainsi je parvenais à te combler ! Aujourd’hui, en me recentrant sur moi et sur mon propre désir de façon plus égoïste, je me rends compte aussi que finalement je t’apporte plus de satisfactions sexuelles. Tu n’as pu t’en rendre compte, mais ce n’est plus avec ta femme ...
    ... fidèle que tu fais l’amour, c’est avec une maîtresse qui ne te considère finalement plus que comme un amant, qu’elle sera amenée peut-être à quitter un jour… D’ailleurs le terme « baiser » ou « me faire baiser » correspond mieux à la réalité de nos passages à l’acte. En perdant une épouse, tu as gagné une maîtresse bien plus inventive et sensuelle… mais tu n’as pas les cartes en main pour mesurer le coût final des nouveaux délices que je me propose désormais de t’offrir… Hier soir je t’ai gratifié ainsi d’un spectacle inattendu. C’était surtout vrai par le moment que j’ai choisi. À l’instant du dessert, je t’ai abandonné pour gagner la cuisine… puis je t’ai demandé de me rejoindre. En guise de mets de choix, je t’ai proposé le spectacle de mes fesses nues, le torse plaqué contre la table, les jambes écartées, et je t’ai demandé de venir goûter ton dessert en lapant mes deux globes charnus, objets si chéris de ta convoitise. Comme c’était bon de sentir ta langue lécher goulument mon « gros » cul ! Je me suis agrippée aux rebords de la table, car curieusement, j’avais aussi la ferme volonté de ne pas perdre une goutte de ce qui était aussi un dessert pour moi. J’adorais sentir ta salive tapisser les contours de mon fondement, comme l’aurait fait un escargot lubrique enivré par la volupté de parcourir un paysage aux formes si accueillantes… Mais bientôt je n’en pouvais plus de résister… — Viens laper ton petit dessert, ta petite cerise sur le gâteau… J’ai écarté ainsi mes fesses, ...
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