Florence bourge débauchée
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
fhhh,
hagé,
parking,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
... des couilles gorgées de jus – ce qu’elle pressent. Il la colle contre lui, l’embrasse avec fougue. Elle répond à ses baisers, se laisse faire. Elle est sa chose. Il est bon d’être simple chose dont on profite. Et puis son vieux cochon de voyeur la mate. Elle sera obéissante, comme promis. Enfin, elle est là non pour se poser des questions, mais pour vider les couilles de ce type. Elle passe la main sur son jean. Elle soupèse, évalue. Il semble bien équipé. Il bande dur déjà. Sa bite doit être bien épaisse, bien charnue. Ses balloches bien rebondies. Elle aime les couilles, les toucher, les soupeser, jouer avec elles, les lécher. Il la trousse, passe sa patte velue sous sa jupe. Elle est tellement mouillée qu’il croit que c’est lui qui la met dans cet état ! Ils vont derrière son camion. Elle se retourne, relève sa jupe. Cul exposé aux outrages attendus. Espérés, peut-être. Il lui écarte sa petite culotte, sort son chibre, l’enfile dans son con tout huilé. Il la lime comme un pro. Elle frétille du cul, pousse des gémissements de plaisir. Elle aime ça, en fait. Son vieux qui les mate se branle. Ils jouissent. Il se retire, l’insulte, la traite de tous les noms qu’il possède : salope, putain, pouffiasse, enculée, paillasse à bites… Elle, excitée, insatisfaite, a envie d’une suite. Ces excès lui ont mis l’eau à la bouche, la mouille à la chatte, le feu au réchaud. Elle a envie de continuer. Il a compris, instinct de mâle en rut ! Il lui demande de l’attendre dans sa voiture, il ...
... va revenir dans quelques dizaines de minutes. Elle écrit un petit message à son vieux, lui demande conseil. Il lui répond de faire selon ses envies, de se vautrer sans remords dans le vice, c’est comme cela qu’elle lui convient. Seule dans sa voiture, elle attend la suite. Elle se touche, excite son clito qui jute. Elle redoute un peu, mais elle laisse parler son bas-ventre qui crie famine… Il revient avec… deux types. Deux balèzes qui ont envie de se faire une bourgeoise bien chaudasse et bien foutue. Bien à foutre. Ils vont derrière le camion. Pas de temps à perdre. Le premier baisse son pantalon, sort son engin, lui offre à sa bouche. Elle suce avec application comme une bonne élève soumise. Pendant qu’elle opère avec conscience, elle sent qu’une main vient la doigter. Elle redouble ses succions, tripote les bourses du type. Elle se fait enculer. Elle pense à son vieux mateur qui doit être au comble de la jouissance. Elle se lâche. Crie de plaisir. Elle aurait envie de pisser de joie, de soulager tous ses organes. Il jouit dans sa bouche, elle avale le foutre chaud et abondant. L’autre ne tarde pas à jouir dans son petit trou bien dilaté (visiblement elle doit avoir l’habitude de faire ça). Ils la remercient et partent. Ils sont polis avec les bourges. Elle remonte dans sa voiture. Son vieux lui envoie un message de félicitation : Elle le retrouve quelques instants plus tard. Il réitère ses compliments. Ils s’embrassent, se touchent avec passion. Ils usent et abusent des ...