1. Julia, bombe aux seins énormes (1)


    Datte: 27/07/2020, Catégories: Hétéro

    Elle avait de très gros seins, bien ronds, bien fermes. Je les devinais tellement bien à travers son pull fin. Même si elle n’avait pas de décolleté, on ne voyait que ça. Je n’avais qu’une envie, c’était de les toucher, de les malaxer, de les soupeser. De jouer avec ces petites pointes que j’imaginais toutes roses. De lécher tout ça, de faire durcir l’ensemble. Je dus me secouer l’esprit, et repousser ces images excitantes de ma tête. Elle était en train de me parler, et je n’avais strictement aucune idée de ce qu’elle pouvait bien me raconter. Je me mis alors à lui sourire bêtement, et à répondre de façon hasardeuse « oui... » quand ça semblait coller. Julia était vraiment magnifique, on ne peut pas m’en vouloir : grande, le corps svelte et musclé, elle avait la peau lisse et savamment bronzée. Elle possédait un visage parfait, de longs cheveux noirs et des yeux d’un bleu époustouflant. Son ventre était ferme, et son cul beau comme la 8e merveille du monde : lui aussi très ferme, assez gros sans l’être trop, magnifiquement bien dessiné, bien arrondi. Il était bien moulé dans son legging noir et promettait toutes les merveilles possibles. Elle possédait aussi de longues et belles jambes musclées que l’on devinait bien sous le tissu. Mais le must, le plus incroyable, c’était ses nichons. Des boobs magnifiques, qui faisaient tressaillir mon membre rien qu’en posant les yeux dessus. Tous les hommes de la pièce la dévoraient des yeux, bien entendu. Tout le monde faisait semblant ...
    ... de l’écouter, mais n’en avait que pour son cul et ses seins. Je pouvais les comprendre, je faisais pareil. Pour mon plus grand bonheur, c’est à moi qu’elle parlait à ce moment-là ; c’est moi qui avais la vue complète sur sa poitrine XXL, Julia s’étant penchée vers moi pour que je puisse mieux l’entendre dans le brouhaha ambiant. Je me faisais peut-être un film, mais j’avais l’impression qu’elle me donnait plus d’attention qu’aux autres hommes de la pièce. Certes, je ne suis pas moche, de loin pas. J’ai toujours fait tomber les filles avec ma carrure musclée d’athlète, mon cul bien ferme, mes yeux vert émeraude et mes cheveux blonds dont je prends particulièrement soin, et il paraît que mon sourire en particulier est à faire tomber par terre. Mais de là à attirer l’attention d’une telle bombe, je n’y croyais pas. Et pourtant, durant toute la soirée elle resta avec moi. Nous avons fait connaissance et nous nous sommes trouvé plein de points communs. C’était une fille aussi belle qu’intelligente, et nous rigolâmes bien. Ce fut en milieu de soirée, lorsque nous étions assis côte à côté sur le canapé, que les choses devinrent intéressantes. Elle était assise à côté de moi, à ma gauche, tout près. Tellement près que je sentais le doux parfum de ses cheveux, et que je sentais sa cuisse nue (maintenant qu’elle avait troqué son legging contre une jupe courte) contre la mienne. Mon esprit s’inventait déjà mille scénarios rien qu’en l’effleurant, lorsque mon portable glissa du rebord du ...
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