1. Marlyse (4)


    Datte: 07/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... les trois se retrouvent dans un appartement sympa à Ecublens, tout près du centre universitaire. Les deux ont choisi la voie technique et sont à École Polytechnique Fédérale de Lausanne. Ce n’est vraiment pas du gâteau et souvent ils ne sont pas de trop de travailler à deux sur certains sujets. Marlyse fait un max pour soulager ses deux chéris, des soucis matériels, entre autres. Elle est très ferme sur le devoir de réussir. Une mauvaise appréciation d’un professeur, c’est ceinture pour une semaine au niveau de la bourse. Mais avec un challenge de cette taille, les deux garçons sont super compétitifs et tout leur réussit, même les filles, (il y en a quelques-unes) les sentant un peu indifférents, n’hésitent pas à les inciter au flirt, mais sans trop de succès, elles en viennent, de dépit, à les traiter d’homosexuels. Devant le challenge, ils se sentent un peu obligés de faire une fête à l’appartement et soumettent le plan à Marlyse qui comprenant les raisons, accepte d’organiser une petite fête entre quelques personnes. Mais il faudra faire quelques aménagements pour ne pas laisser la suspicion s’installer. Finalement, la soirée se passe bien, il y a un copain qu’ils ont trouvé vraiment sympa et deux filles qui sont plutôt en commercial. On passe la soirée à boire et à danser, les couples se forment et se déforment au gré de la soirée. Du Tango langoureux suit le slow aux mains exploratrices et aux lippes quémandeuses. Les filles ne sont pas trop farouches et rapidement les ...
    ... tenues sont très allégées, Marie, la plus délurée, a déjà perdu sa culotte et Jean, le copain, s’est spécialement "sacrifié" pour la belle mature que représente Marlyse. Elle en est enchantée d’agrandir son champ d’investigation et laisse ses deux mâles en semi-rut s’occuper des deux filles. Elles ne sont pas en reste et Marie danse avec pratiquement la main dans le pantalon de Jacques en massant gentiment ce qu’il y a dedans. Ce n’est, finalement, pas très agréable quand on danse en jeans et, pour tourner le problème, Jacques propose à la fin de la danse de faire un strip-poker, qui permettra d’alléger un peu la tenue. Curieux, Jean demande : « Marlyse, aussi ? – Pourquoi cette question, répond-elle, si tu penses que je suis trop vieille pour faire des bêtises, c’est que tu me connais mal, mon ami ! – Moi, je ne demande pas mieux ! – Je brasse les cartes alors, mais quelles sont les règles ? – À chaque tour, au début, le perdant doit enlever un vêtement ! – Je pars désavantagée, s’insurge Marie, j’ai déjà enlevé ma culotte, j’avais trop chaud ! – Désavantagée ou avantagée ? Réplique Jacques qui avait remarqué la chose. – Et jusqu’où mène-t-on le jeu ? S’inquiète un peu Marlyse. – J’allais dire jusqu’au slip, mais vu la situation, on va dire jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un habit ! – Cela sent un peu la partouze ! Remarque Jean. – Avant de commencer, qui est contre et qui est pour ? » Finalement tout le monde, pour ne pas paraître dégonflé, accepte le jeu, même si les filles ne ...