Mes chers voisins (1)
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... arrêter Alix, bien au contraire. Elle s’agenouille et empoigne mon double- décimètre qu’elle suce goulument. Sa main droite pelote mes couilles tandis que sa main gauche me branle et que sa bouche pompe mon gland. A intervalles réguliers, elle délaisse celui-ci pour lécher ma longue bite tendue de bas en haut, gobant mes testicules au passage. Je suis au septième ciel, on m’avait rarement sucé comme cela. Alix aime la bite, elle aime le sexe et cela fait toute la différence. Sa belle pipe prodiguée, elle se relève face à moi, m’enjambant totalement et chevauchant mon pieu, ses bras entourant mon cou. Mes mains agrippent ses fesses pour aider ses mouvements de bassin. La chaise grince légèrement mais cela est couvert par le bruit de nos gémissements. Elle se relève, ma bite sortant trempée de son vagin et se retourne. Elle pose ses mains sur mes genoux pour m’écarter les cuisses, et se recule comme si elle allait s’asseoir. Je garde ma bite à la verticale et Alix cherche délicatement l’entrée de son vagin, pour enfin coulisser le long de ma tige. Elle pose ses mains sur le rebord de la fenêtre, m’offrant une vue sur son cul bien rebondi et sur sa chatte en train de se faire limer, et à quelques mêtres en face, les spectateurs du match de foot. Si celui-ci s’avait que je baise sa femme à quelques pas de là, il ne s’extasierait pas devant 22 bonhommes en short courant sur du gazon. Pendant ce temps, je me délecte du corps de son épouse, distribuant quelques fessées bien ...
... appuyées sur son postérieur, y laissant quelques rougeurs synonymes de plaisir. Tels deux animaux en rut, nous exprimons notre désir et notre envie de faire jouir l’autre par de multiples grognements. Pouvoir baiser devant son cocu sans être vu la rend encore plus gourmande et je remarque petit trou s’élargir et s’humidifier. Soudain, un portable sonne dont je ne reconnais pas la mélodie. Instinctivement, je regarde en face et remarque que son mari au téléphone. C’est lui, il l’appelle. Sans stress, elle fouille dans son sac et en ressort un iphone. Elle décroche et parle normalement. J’en veux à cet idiot de nous avoir coupé dans notre élan, mais c’était sans compter sur l’audace d’Alix. Je suis toujours assis, elle revient vers moi le sourire aux lèvres et reprend sa dernière position. Elle lui dit être toujours au bureau, complètement débordée malgré l’heure très tardive, raconte sa journée, tout en agrippant ma bite pour pouvoir s’empaler de nouveau. Leur conversation banale ne la déconcentre pas le moins du monde, poursuivant sa chevauchée endiablée. Je m’efforce de ne pas gémir trop fort tout en observant de l’autre côté de la rue, Monsieur faire les 100 pas dans son appartement, ne se doutant pas des cornes qui lui poussent sur la tête en ce moment même. Alix aime le risque et jouer avec le feu. Elle ne cherche pas du tout à écourter la conversation, d’ailleurs elle veut même pimenter et me faisant comprendre qu’elle souhaite que je lui prenne le cul. Je file dans la chambre, ...