Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (6)
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Lesbienne
Salut c’est votre folle de lycra. Nous étions donc dans un manoir dans la ville d’Arnage tout proche du circuit du Mans. Geneviève était en train de m’embrasser sur le canapé, j’avais les jambes bien écartées et je m’attendais à ce que Muriel vienne me brouter le minou, car manifestement elle est experte en cela. Là, à ma grande surprise ce n’est pas un coup de langue que j’ai reçu mais un sexe masculin de belle taille qui m’a pénétrée d’un seul coup. Muriel venait de relever l’avant de sa robe et manifestement elle était bien harnachée, prête à me donner du plaisir. Je peux vous garantir que j’ai été vraiment surprise, car je pensais que Muriel allait s’occuper de moi avec sa langue, mais manifestement elle avait pris un gode à ceinture de belle taille. Je ne pouvais pas vraiment voir ce qui m’arrivait, car Geneviève m’embrassait avec gourmandise et ses cheveux me laissaient dans l’obscurité. Il n’y a pas à dire Muriel était vraiment experte pour donner du plaisir à une femme que ce soit avec la langue ou avec un sexe factice. Ce dernier était tellement gros qu’il s’est mis à me procurer des sensations jouissives très rapidement. Il n’y a pas à dire, brouter du minou c’était bon, se faire brouter le minou c’était aussi bon, mais se faire pénétrer par un sexe même factice était quand même bien meilleur. Maintenant je poussais des cris de plaisir, ces derniers étaient étouffés par la bouche de Geneviève. Puis à un moment, c’est Muriel qui a pris le relais pour m’embrasser, ...
... en sachant que Geneviève s’occupait désormais de me caresser le corps dans les parties de plus sensibles. — Y a pas à dire, ma belle auto-stoppeuse, tu as l’air d’aimer faire l’amour. — Tu es faite pour prendre du plaisir, tout comme en donner. — Je voudrais que cette partie à trois d’aujourd’hui, tu t’en souviennes jusqu’à la fin de tes jours. La douceur de la voix avec laquelle Geneviève me parlait me faisait des frissons, elle était une femme de pouvoir mais elle voulait me donner du plaisir, un plaisir mémorable, un plaisir que je ne puisse oublier. Avec son appendice fictif, Muriel me faisait un bien fou et j’avais l’impression que Geneviève appuyait sur ses fesses, pour que notre conductrice aille encore plus loin en moi avec son harnachement, sans doute en silicone tant il était souple. J’étais impressionnée par la puissance de ma partenaire qui me pénétrait, elle s’accrochait un coup à mes hanches, un coup à mes épaules, un coup elle me tenait la tête, mais ce n’était pas grave car elle me faisait du bien, un bien fou, et ça, c’était le principal. — Désormais Coralie, Muriel et moi te donnerons du plaisir quand tu le voudras. — Je sais que tu es aussi une experte pour en donner. J’aimerais que tu dédicaces à Muriel, ta jouissance qui est sur le point d’arriver. C’est vrai qu’au fond de moi, la première fois que j’ai vu Muriel, jamais je n’aurais pensé qu’elle me ferait l’amour et surtout qu’elle me ferait jouir, comme elle était sur le point de le faire. Au fur et à ...