1. Ophélie, de femme à femelle (9)


    Datte: 07/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Voilà comment on vit quand on est une chienne ? A même le sol, toute nue, attachée, couverte de sperme et, la chatte remplie pendant que le Maître dort tranquillement sur le canapé ! Cette position très inconfortable m’humilie et m’excita à la fois. Je constate même que ça m’excite plus que ça me gêne, vu que le gode glisse tout seul hors de ma chatte par toute ma mouille qui s’en écoule. Je trouve le sommeil en repensant à toute cette soirée, aux plaisirs que cette jeune soumise à pris, à la fierté dans le regard de son maître face aux performances de sa chienne, j’espère qu’Arnaud aura le même regard en me regardant, en regardant sa chienne….. Le repos fut très court, j’ouvre les yeux, essayant de faire au mieux le point mais le salon est toujours dans la pénombre. Je me relève difficilement, toute engourdie d’avoir dormi à même le sol, ne remarquant à peine qu’on m’avait libérer les poignets. Assise par terre, je regarde tout autour de moi, cherchant Arnaud, ne le trouvant pas. Je commence à m’inquiéter, m’aurait-il laissé toute seule ? M’aurait-il abandonnée ? Ca y est, je panique, d’autant que toutes ses « gadgets » ne sont plus la ! Je reste comme une cruche, au bord des larmes, me demandant pourquoi il est parti, je me sens perdue. Mais il apparait dans le couloir, sortant de la salle de bain, je me précipite vers lui, à quatre pattes, remuant du cul comme une chienne qui remue la queue. Je m’agrippe à sa cuisse, la serrant fort, comme pour le retenir. Je n’ai pas ...
    ... envie qu’il parte, qu’il m’abandonne. - Eh ben, ma salope, je t’ai manqué tant que ça ? - J’ai eu peur de vous avoir déçue Maître, que vous soyez parti. Il rigole tout en me caressant les cheveux et, m’explique que si je le déçois, il ne m’abandonnera pas mais me corrigera. Je suis à la fois rassurer et, inquiète. Je me frotte sur lui, je frotte ma joue sur son pantalon, sentant son sexe à travers le fin tissu, mais il me repousse assez violement. - T’es pleine de sperme séché salope, tu vas me salir ! viens avec moi que je te nettoie un peu ! Je le suis comme une bonne chienne jusqu’à la salle de bain ou il me fait couler de l’eau dans le bidet. Il me débarbouille avec un gant et un peu de savon, sans douceur, me lavant même la langue, le tout à quatre pattes, le visage au-dessus de l’eau. Pour le rinçage, il m’agrippe les cheveux pour me plonger la tête dans l’eau. Une fois fini, il me frotte avec une serviette, me coiffe les cheveux en arrière pour les attacher en queue de cheval. Voilà, il semble satisfait de lui et, commence à sortir de la salle de bain mais je reste sur place, sans bouger, tirailler par une envie présente. Il me regarde, me demandant de le suivre. Je bredouille mon envie de faire pipi, rouge de honte, humiliée de dire à mon patron et maitre des choses aussi intimes. - Je suis de bonne humeur ce matin, je t’autorise à aller faire tes besoins dans les toilettes ! Profites en, les prochaines fois ce sera dehors ! Tout en le remerciant, je me dirige vers les ...
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