1. Jasmine : princesse et salope (2)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Hétéro

    ... Avec ses mains répugnantes sur moi… Je n’ai pas supporté ! — Jasmine… Que tu le veuilles ou non, tu vas devenir une courtisane. Ou pour être plus clair, une esclave sexuelle, une salope, une trainée, un jouet pour ton actuel maître, moi et ton futur époux, Jafar. — Je sais, mais… — SILENCE ! Lève-toi ! Jasmine se leva et baissa la tête. Le génie s’approcha d’elle et posa alors ses mains sur sa grosse poitrine. Malgré qu’il soit son maître, il n’avait encore jamais eu de relation si intime avec elle. Jasmine serra les dents mais ne broncha pas alors qu’il malaxait ses gros seins au travers de son beau haut bleu. — Pourquoi ne me gifles-tu pas alors que je te touche les seins ? — Parce que… vous êtes mon maître… — Alors souviens-toi de ça : ton maître t’ordonne de ne rien dire si des hommes au marché te touchent. Compris ? — Oui, maitre. — Bien, retournons au marché et essayons de récupérer ta place. Le marchand accepta de reprendre Jasmine et de lui payer sa journée à condition que cela ne se reproduise plus et en aillant, évidemment, palpé lui-même la généreuse poitrine de la princesse. Les jours suivants, Jasmine retourna travailler au marché et alla une nouvelle fois passer une journée à l’école des courtisanes. Le génie décida de ne pas la brusquer et de gagner sa confiance plutôt que de la forcer à lui obéir. Il ne chercha donc pas à la baiser ou à l’humilier comme il en crevait pourtant d’envie. Cela faisait une petite semaine qu’il avait été chargé de cette mission par ...
    ... Jafar et la situation se normalisait entre Jasmine et lui. Elle l’appelait systématiquement maître et se nommait elle-même « esclave ». Elle n’était plus jamais agressive avec lui et lui se montrait à la fois ferme et juste. Durant ces journées de travail et d’école, Jasmine appris à ne plus s’offusquer des attouchements ou des remarques des hommes envers elle. Elle comprit qu’en laissant entrevoir la beauté de ses seins ou la rondeur de ses fesses, elle ramenait plus d’argent à son maître qui améliorait considérablement son quotidien, tant pour la nourriture que pour le confort. A l’école, elle sût se familiariser avec la nudité des autres élèves et assumer la sienne. Elle dût, en effet, se dénuder dans sa classe et ses professeurs. Mais, heureusement pour elle, elle n’eut pas à se masturber… Elle en serait morte de honte. Un soir, dans leur maison, le génie décida de profiter de son esclave. Cela faisait plusieurs jours qu’il la désirait mais se retenait. Bien sûr, il avait pu se soulager dans l’anus chaleureux d’une élève de l’APJ mais il voulait Jasmine. Trois jours d’abstinence allaient prendre fin ce soir, se dit-il ! Il frappa à sa porte : — Entrez, maître, répondit Jasmine. — Bonsoir. Comment c’est passé ta journée au marché ? — B… Bien, répondit Jasmine en baissant la tête. — Ne me ment pas, esclave, tu me caches quelque chose ! — C’est trop humiliant… — Raconte-moi ! — Et bien, c’est le marchant… Alors que je vendais des fruits à un client, il s’est approché et m’a… ...