Hélène (3)
Datte: 08/10/2017,
Catégories:
Hétéro
... première fois, que je me fais caresser au ciné. Tu dois me prendre pour une salope. Je m’arrête, et je lui fais face. - Hélène, nous n’utiliserons plus jamais entre nous ces termes péjoratifs. Les mots comme salope, Radasse, et tous les mots en asse seront bannis de notre vocabulaire amoureux. - Oui, mon maitre, je suis votre humble esclave. - Je préfère que tu utilises des formules comme soumise, sultane. Evite aussi le mot maitre pour me qualifier. - Mon sultan, votre odalisque vous obéira. Et elle me pose un délicat baiser papillons sur les lévres. - Au fait, tu as aimé le film. - Quel film ? Me répond mon amoureuse. Je ne suis pas pressé de rentrer, nous prenons l’autoroute. Hélène laisse sa robe remonter et que ses cuisses charnues se découvrent jusqu’au-dessus de la lisière des bas. J’ai un œil sur la route et un autre œil ailleurs. - Chérie, on va avoir un accident. Dis-je en doublant un routier. - Tu n’as qu’à regarder devant toi. Et provocatrice, elle remonte l’ourlet de sa robe. - Le routier va te voir. - Mais non penses-tu. Et grand coup de Klaxon nous répond. Eclat de rire général. Ma sultane relève la tête et envoie un grand sourire à ce routier sympa, et voyeur. J’accélère pour finir de doubler le camion accompagné du rire de ma compagne et des tut tut désespérés du 36 tonnes. Une fois arrivés à la maison, et la porte fermée, je glisse la main sous la robe de mon impudique, et avec un accent mal imité de Gabin dans la bête humaine, je balance. - Alors la p’tite ...
... dame, on n’a pas peur de s’enrhumer les miches à l’air. - C’est pour exciter mon pervers préféré, mon p’tit monsieur. Puis, elle me prend la main et me tire vers la cuisine. - Je n’ai pas très faim, que me proposes-tu. - Apéritif dinatoire, sur la terrasse. - Ça marche, tu prépares tout, et tu me rejoins sous la douche. Récit d’Hélène. Une fois sous le jet, je m’arrose abondamment, le dos et les fesses. Puis, je pose une noix de savon dans ma paume, et je me frictionne. Ensuite j’attaque l’entrainement, avec mon savon intime, je lubrifie mon petit trou, et je glisse un doigt dans mon cratère. Rien, pas de douleur, mais je ne retrouve pas la sensation agréable que me procure le majeur de Pierre. L’index rejoint son voisin, même pas mal, mais aussi aucun plaisir. J’essaye avec un troisième doigt, je réussis à le faire pénétrer, mais je sens comme une brulure. En moi-même, je m’encourage. - Allez ma fille, tu peux le faire, fais le pour Pierre. Peine perdue, mon troufignon me lance, j’ai mal, un mélange de brulure et de frictions. En plus, cette douleur me crispe. Je renonce à mes essais d’auto-sodomie. Pourvu que Pierre soit plus doué que moi. Pierre me rejoint. Je ne lui dis rien de mes tentatives. Je le savonne, sa belle verge se gonfle dans ma main. Mon sultan est vraiment vigoureux, jamais il n’entrera en moi par derrière. Ou il va me déchirer. Je me retourne pour régler l’eau sur plus chaud. Le traitre en profite pour me caresser les fesses, puis sa main se faufile dans ma ...