1. Kevin


    Datte: 01/08/2020, Catégories: fh, fplusag, voiture, Oral pénétratio, init, inithf, occasion,

    ... détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste plus. Il lâche un long cri sonore et décharge dans ma bouche. Une giclée d’une pression inouïe m’inonde l’arrière-gorge. Animé de spasmes, il n’en finit pas d’inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il faut que j’avale tout de lui. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaître peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en moi. Deux petites minutes auront suffi pour qu’il reprenne toute sa vigueur, Tant mieux car il est temps de passer aux choses sérieuses. Je m’allonge, je place un coussin sous mes hanches, j’aime beaucoup ça, je trouve que ça rend l’angle de pénétration plus agréable et je lui propose : — Tu viens sur moi ? Impudique, j’ouvre largement mes cuisses m’offrant à mon jeune amant. Il se précipite sur moi et enfonce son sexe. C’est ce que je veux : du sexe à l’état pur, des orgasmes rapides sans fioriture, de la fougue, presque un viol consenti. Il s’agite sur moi et en moi comme un jeune chien. Je ...
    ... sens sa verge dure aller et venir, profondément. Je n’ai pas peur qu’il jouisse en moi tout comme notre première fois. Cette chevauchée semble ne pas avoir de fin. De mon côté, j’use de mon vagin comme pression sur cette queue et mon bassin tente d’épouser le rythme de mon cavalier. Instants sans fin. Instants de plaisir. Je veux que cela ne cesse jamais. Nous conservons le silence chacun, les mots étant signification. Je ne vais quand même pas lui dire « je t’aime, mon chéri… » alors que pour moi ce n’est qu’un parcours sexuel corporel. Sans plus, mais c’est déjà beaucoup. À certains grognements et mouvements plus désordonnés j’ai compris que mon cavalier s’apprête à se libérer en moi. Quelle puissance ! C’est avec de longs et nombreux jets que ma chatte est inondée. Après son plaisir Kevin s’extrait de moi et avec un peu de maladresse il pose un bisou doux sur mes lèvres puis, honteux semble-t-il, il s’habille et s’enfuit. Il me laisse là, les cuisses ouvertes, dégoulinantes de nos deux jouissances. J’aurais voulu un peu de câlineries post-coït, un peu de douceur, quelques mots gentils, un dialogue amoureux. Il faudra que je fasse son éducation à ce gamin, car s’il veut m’avoir encore à lui autant que ce soit bien fait ! 
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