1. La Tour de Vénus (11)


    Datte: 01/08/2020, Catégories: Hétéro

    ... fautes de syntaxe et de ponctuation. La moindre des choses quand tu dictes à un dictaphone, c’est de relire. Tu as écrit que Sandrine sort de ton sexe ! Si vraiment c’était une baguette magique, nous ne serions pas là, à perdre notre temps sur tes récits. Doogy fouille dans son sac et en sort un fouet aux lanières en latex longues et aussi larges qu’une ceinture de sécurité. Thea écarquille les yeux, puis fourre le string dans la bouche de la folle. — Il faut que tu comprennes que tu ne peux plus surcharger le travail des validateurs avec tes torchons, alors que d’autres auteurs méritants attendent que leur texte soit validé. Doogy ôta sa chemisette, dévoila son torse musclé et velu, la lança sur Thea qui le regardait avec des yeux de braises. — Pour cette raison, je vais te donner soixante-huit coups de fouet plus dix pour que tu assimiles rapidement la leçon. Sifeminin poussa un glapissement. Thea s’assura que le string était bien en place. Doogy se leva, le fouet à la main. — Tu as déjà fouetté quelqu’un ? Demanda-t-il à sa complice. — Non. — Alors, sache qu’il ne s’agit pas de frapper comme un bourrin, mais juste de chauffer la peau. Ça fait plus de bruit que de mal. Doogy exerça un mouvement de moulinet du poignet pour l’échauffer. — Tu comptes. Le fouet siffle avant de s’abattre sur la peau diaphane de Sifeminin, il se cambre. — 1… 2… 3… La peau rosit, la folle gémit et remue ses petites fesses à chaque coup. Le claquement des lanières résonne. Thea s’inquiète qu’on ...
    ... puisse les entendre, mais n’ose pas interrompre Doogy. — 20… 21… 22… Les coups s’enchaînent à un rythme régulier. Concentré et le regard brûlant, Doogy prend du plaisir. La sueur perle sur sa peau, il sent le mâle viril. — 55… 56... 57… Sifeminin gémit de plus en plus fort. Le plaisir prend le pas sur la douleur. Sa verge est tendue contre son ventre. Il supplie Thea du regard de le soulager, mais elle n’a d’yeux que pour Doogy. — 70… 71… 72… Les yeux révulsés et le corps secoué de spasmes, Sifeminin gémit. Sa verge palpitante souille le sol de sperme. — 75… 76… 77… 78. Essoufflé, Doogy essuie son front humide du revers de la main. Thea remarque le sperme sur le sol. — La cochonne a giclé toute seule ! J’ai bien peur que ta leçon ne soit pas très utile… — Ah ouais… Doogy tire la folle par les hanches. — Dépêche-toi de me nettoyer ça ! — Mmmmpfffff ! Thea lui enlève le string de la bouche. — Mais comment ? — Avec ta langue pardi ! Tu ne vas quand même pas laisser le boulot à la femme de ménage. Marre de ces capitalistes toujours prêts à exploiter les gens en bas de l’échelle ! Sifeminin étire sa langue et lèche méticuleusement son sperme. Puis Doogy insère un doigt la chatte humide de Thea. Surprise, elle gémit et mouille dessus. Il en insère un second et exerce de rapides va-et-vient sur la paroi jusqu’à lui donner un orgasme. Quelques secondes suffisent avant qu’elle ne se tortille comme un ver entre ses bras. — Merci chérie ! Doogy l’embrasse fougueusement et retire ses doigts ...
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