1. Première soirée


    Datte: 02/08/2020, Catégories: f, ff, voiture, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, odeurs, BDSM / Fétichisme chaussures, Oral fgode, fdanus, fsodo, jeu, yeuxbandés, ecriv_g,

    Au retour, même combat : la circulation, les embouteillages, la chaleur. Nous étions bloqués depuis 5 bonnes minutes, les automobilistes commençaient à sortir de leurs véhicules pour essayer d’en comprendre la raison. Malgré les fenêtres ouvertes, il n’y avait pas d’air, les gens étaient de plus en plus énervés. Moi, j’avais une bien meilleure idée, j’actionnais le vibro qui occupait toujours ma chatte. Je poussais un peu le volume de la radio pour me donner une contenance. S’ils savaient, tous ces agités, que dans la voiture d’à côté, il y a une femme qui se branle comme une folle, ils penseraient à autre chose qu’à leurs 10 minutes de retard. Je remontais complètement ma robe pour sentir le contact du velours du siège sur mes fesses, et aussi, parce que je voyais le petit fil disparaître dans ma chatte et que ça m’excitait. J’essayais de me maîtriser un peu, et presque à regret, je réussis à contenir mon orgasme. J’arrêtais le vibro, le bouchon ne se dissipait pas, je me mis alors à penser à mon programme de la soirée. Anne allait être servie si je lui proposais la moitié de ce que je prévoyais. Je décidais également de lui faire porter d’autres dessous à son travail et ce, dès demain. Me remémorant notre passage entre les mains de Françoise, je me disais que la boutique que je venais de quitter ne tarderait pas à faire à nouveau des affaires avec moi et je projetai d’y emmener Anne. Les voitures redémarraient doucement et je remis le contact. La maison était encore loin ...
    ... et je me réjouissais de quitter mes vêtements moites pour me glisser sous la douche. Je mis encore presque une heure avant d’arriver au parking souterrain. Comme à notre arrivée hier, il était totalement désert. Un abruti c’était garé sur l’emplacement d’Anne, j’en profitais pour me garer près de l’ascenseur et je déchargeais la voiture. Je montais au dernier, bloquais l’ascenseur et commençais à sortit les paquets. Je glissais la clé dans la porte, et, à ma grande surprise, elle était ouverte. J’étais pourtant sûre de l’avoir fermée à clé, je poussais la porte et tombais sur Jean. — Jean ?— Hello Fabienne ! Tu vas bien ?— Euh, oui…— Tu es surprise de me voir ici ?— Oui, un peu— Anne, m’a demandé de passer de temps à autres pour vider sa boîte aux lettres et donner de l’eau aux plantes. Mais je ne savais pas qu’elle rentrerait cette semaine.— Ah, oui, ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus !— Oui, un bail, tu veux un coup de main ?— Oui, merci, il y a encore plein de sacs dans l’ascenseur.— J’y vais !— Attends, euh, prends ceux-ci, ils sont plus lourds. Je me charge de ceux qui sont dans l’ascenseur.— Ok, Ouf, j’avais eu chaud, je n’avais pas trop envie que Jean voie tous mes achats. Je pris soin de cacher subrepticement les sacs dans la penderie dès mon entrée dans l’appartement. Jean rangeait les victuailles dans le frigo. C’est vrai qu’il était craquant, il n’était pas spécialement beau, mais il était bien bâti quand même et il ne manquait pas d’humour. Je comprenais Anne ...
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