1. Dépravations


    Datte: 02/08/2020, Catégories: ff, gymnastiqu, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init, initff, occasion,

    ... de peu par Leila. Une fois à l’intérieur, Angélique demanda à son amie si elle voulait qu’elle lui lave le dos. Leila accepta. Angélique lui savonna le dos avec la main, s’arrêtant juste à la naissance de son cul. Quand elle eut fini, Leila se retourna et Angélique entreprit, sans rien lui demander, avec juste un sourire sur son visage, de lui laver la poitrine. Leila se laissa faire sans rien dire. Elle pensa juste que son con devait être bien humide et ne put empêcher ses tétons et ses aréoles brunes de durcir. Angélique la rinça et lui demanda si elle voulait lui rendre la pareille. Leila accepta en riant plus qu’il n’était nécessaire et entreprit de la laver, pile d’abord, face ensuite. Elle lui frotta les nichons avec insistance en se disant intérieurement qu’elle branlait les grosses mamelles de cette fille plus âgée qu’elle et que la sensation était incroyablement douce. Car les gros seins blancs d’Angélique étaient d’une consistance différente de celle de ses jeunes nichons, et les bouts rosés la fascinaient. Angélique avait envie d’aller plus loin mais n’osait pas car les deux femmes continuaient à papoter et, même si elles se désintéressaient de ce qui se passait sous la douche, elles n’auraient pas manqué d’être intriguées si le jeu descendait au-dessous de la ceinture. Leila sortit la première de la douche et s’essuya doucement, elle commença à se rhabiller tandis qu’Angélique finissait de se laver la motte. Leila pouvait la voir faire au travers des parois ...
    ... embuées de la cabine et avait l’impression qu’elle insistait plus que de raison sur son clitoris. Les deux femmes quittaient le vestiaire lorsque Angélique sortit. Leila était presque prête et regarda son amie s’avancer vers elle. Elle vit que sa moule était toute gonflée d’avoir été branlée et se demanda ce qu’elle aurait ressenti si Angélique l’avait lavée avec autant d’attention qu’elle en avait mis pour elle-même. C’est quand Angélique remit sa jupe qu’elle lui demanda : — Tu ne mets jamais de culotte ? La dernière fois déjà tu n’en avais pas et quand tu es arrivée tout à l’heure j’ai vu que tu n’en portais pas non plus.— Elle est dans ma boîte à culotte, lui dit Angélique.— Ta boîte à culotte ? Qu’est ce que c’est ?— C’est la boîte à gants de ma voiture, répondit Angélique, mais comme je n’y mets jamais de gants je l’appelle ma boîte à culotte.— Pourquoi fais-tu cela ? demanda Leila.— Car mon mari ne comprendrait pas que je vienne ici sans sous-vêtements.— Tu es mariée ? Mais, je croyais…— Tu croyais que j’étais lesbienne, c’est cela ?— Oui, répondit-elle, je pensais que… vous aimiez les femmes.— Je les aime, répondit Angélique, mais je ne suis pas lesbienne, je suis juste une grosse salope. Leila rougit à ce mot. Elle était étonnée de la facilité avec laquelle Angélique parlait de tout cela et se qualifiait elle-même de salope. — Oui, Leila, poursuivit Angélique, je suis une vraie salope. Et tu as le choix désormais de me fuir ou de continuer à me voir. Mais si tu choisis la ...
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