1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1081)


    Datte: 02/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vibro posé sur un petit trépied monté sur des roulettes, qu’il glissa entre mes cuisses au niveau de mon clitoris. Il en régla la hauteur de façon à ce que l’outil effleure mon clito, tandis que le Majordome poursuivait son puissant pilonnage à l’intérieur de mon ventre. Le « travail » de Walter, ajouté à sa première intervention, me faisait ressembler à une chienne en rut, et les préparatifs du médecin, ajoutaient à mes excitations que j’avais de plus en plus de mal à contenir. Indépendamment du Majordome, le gynécologue poursuivait son action, collant sur mes reins des pastilles autocollantes, ainsi que sur mes ovaires, pastilles reliées à des fils allant jusqu’à un ordinateur…. Pour autant que je le puisse, je suivais les préparatifs du médecin, sous les assauts maintenant devenus plus violents du Majordome. Le médecin mit en marque son ordi, et immédiatement, le vibro calé sur mon clito m’envoya une telle décharge de vibrations que : - Ahhh, hurlais-je de douleurs et de plaisirs mélangés ressentant les décharges électriques envoyées dans les fils branchés sur mon corps… J’étais à la fois surprise mais surtout subissait un excitant « massage » d’une telle intensité que je faillis tous lâcher en une seconde. Le médecin régla son ordi, les vibrations se firent en alternance, plus douces (c’est un euphémisme) et subitement plus violentes. Je regardais mon bas-ventre et quand les vibrations étaient extrêmes, je ne voyais plus mon clitoris tant il vibrait… à une vitesse folle. ...
    ... J’étais en sueur, mes cheveux collés à mon visage ruisselant, mes fesses brûlantes, mon ventre ressemblant à un champ de bataille pilonné par l’artillerie de Walter, mes genoux me faisaient mal, mes seins ballottant en tous sens comme les pis d’une femelle déchaînée, je roucoulais d’envies, devenue animale, je bavais de la chatte et de la bouche, je me trémoussais moi-même comme en redemandant encore plus, mais je ne craquais cependant pas encore… Les capteurs envoyaient à l’ordi du médecin des informations qui semblaient l’intéresser au plus haut point. Assis devant sa machine, il enregistrait mes réactions corporelles et dit : - Ah oui, je comprends mieux maintenant à qui nous avons à faire avec cette femelle incroyablement réceptive aux envies et diverses excitations sexuelles qu’elle perçoit ! Le Majordome, lancé à fond, était concentré sur ses envies et je le sentais avec joie sur le point de me remplir à nouveau. Cette sensation de recevoir encore son foutre, me remplissant ajouta encore à mon excitation, j’aimais devenir cette citerne à sperme, ce vide-couilles recevant les orgasmes des mâles… Pour la énième fois, je me sentais devenir animale, femelle au sens réel du terme, uniquement préoccupée par être excitée et remplie de semence. C’est à ce moment précis, que l’ordi envoya au vibro une telle sollicitation que, surprise, je craquais complètement, remuant tellement que je faillis expulser Walter pourtant bien au fond de moi, littéralement soulevée de la table par ...