Balnéothérapie - Histoires de Sexe

Balnéothérapie

... changeant à l’occasion d’orifice, ce qui aux exclamations des filles est plus un encouragement qu’une récrimination. Notre éjaculation est proche ; nos partenaires, le sentant, se désengagent et se retournent pour que nous nous vidions en longs jets dans leur gosier affamé, partageant comme il se doit nos offrandes. — Spectacle, Messieurs. Nos deux androgynes se positionnent chacun sur un banc, et cul par-dessus tête s’adonnent à un léchage en règle à la fois de leur bite mais aussi de leur clito. Incroyable, leur souplesse ; à croire que les installations du gymnase proche et de l’entraînement quotidien portent leurs fruits. Et dire que je pourrais vivre cette sensation… Mais il est vrai qu’à l’époque, ma ceinture abdominale n’était pas si développée. — On change. Et voilà qu’elles s’installent en 69. Un coup d’œil au sac à malices : Henri découvre deux doubles vibros et m’en tend un. L’humidité de nos deux coquines est telle que nous n’avons pas de difficultés pour les pénétrer, et les multiples vibrations des jouets leur font exprimer leur contentement. Le sauna n’est certes pas trop chaud ; fort heureusement, car les exercices auxquels nous nous livrons depuis une demi-heure font qu’une douche serait la bienvenue. Dina et Maeva, sur la même longueur d’onde que nous, nous entraînent vers le bloc sanitaire équipé de douches hydromassantes. Ceci fait, nous prenons la direction du jacuzzi où nous retrouvons nos dames, toujours en charmante compagnie, flûte de champagne – ...

... certes en plastique, conformément au lieu – à la main ; mais je devine à la finesse des bulles un millésime de bonne facture accompagné d’en-cas tout aussi appétissants les uns que les autres. — Alors les garçons, c’était bien ?— On vous racontera ; mais vous d’abord. Comment se prénomme ton partenaire ? demande Henri à Catherine. — Putain, il m’a graissée ! dit elle en le regardant avec bienveillance ; un nectar de 20 ans d’âge, comme j’aime. Puis je me suis gargarisée de son nectar et je me suis équipée d’un gode-ceinture, allongée au milieu des bulles, et John est venu jouer sur moi. Je l’ai pris en levrette, pompé, re-pompé, et il m’a prise comme j’aime par le con et par le cul en levrette ; j’ai beaucoup joui. Tu es un bon amant, John, lui dit-elle en posant sa main sur sa bite et ses lèvres sur les siennes. Tu sais, chéri, je suis sûre que toi aussi tu aurais apprécié.— Et toi, ma chérie ? demandé-je à Marie.— Stan a une bite en or et un savoir-faire hors du commun, mon amour. Nous avons pris le chemin du hammam, un brouillard parfumé dans lequel Stan m’a guidée jusqu’à l’extrémité pour m’attacher les poignets et les chevilles au mur. Puis avec une infinie douceur, il a déployé ses 26 cm sur 6 de large (elle en profite pour nous monter la bête). Je me suis fait ramoner pendant plus de vingt minutes en levrette ; trois orgasmes coup sur coup. Au troisième, il m’a détachée, prise dans ses bras, allongée sur un banc de pierre, et de sa langue il a visité ma grotte. Une fois ...