Balnéothérapie - Histoires de Sexe

Balnéothérapie

... certainement au fond de son sac. Il est l’or… et vlà une bourse pleine à craquer qui ne demande qu’à être soulagée. Crac-boum ! Elle est décidément insatiable, ma Marie… À croire que nos parties de jambes en l’air depuis hier 16 heures ne l’ont pas calmée ; à croire même que ses sens sont exacerbés. — Hum hum hum… Eh bien, mon chéri, tu es diablement en forme ; et tes couilles velues sont à souhait ! Couilles velues ? Et de me découvrir un pubis noir de jais avec des poils de dix centimètres ; certainement une conséquence des décoctions bues la veille. Marie réalise également et se découvre un pubis fourni comme jamais elle n’en a eu un depuis longtemps. C’est à ce moment qu’Henri et Catherine émergent de leur chambre. Nous constatons qu’ils ont récupéré également une toison pubienne qui nous permet de constater une blondeur nordique à Henri, qui nous déclare : — Conséquence des liqueurs bues hier soir ; je ne sais pas pour vous, mais j’ai une pêche, ce matin !— Je confirme, dit Catherine qui branle le mât de notre ami. Les mots « Liqueur de Jouvence » me viennent à l’esprit. Je regarde mes mains, mes pieds, mon sexe ; stupeur : mon vitiligo qui me dépigmentent la peau depuis un jubilé a totalement disparu. Un coup d’œil à la glace pour constater la disparition de mes cheveux blancs. Les flacons que nous avons bus auraient-ils aussi la faculté de faire rajeunir ? Pouvoir retrouver la chevelure de sa jeunesse rentre-t-il dans un projet industriel en rapport avec le ...

... savoir-faire de Catherine ? Plus de questions encore que de réponses ! — Bon, quelle heure est-il ? 11 h 15. Le sommeil, c’est fait. Le café, je ne sais pas, mais ils ont eu la délicatesse de programmer la machine. De toute manière, j’ai cru comprendre que nous étions attendus pour un lunch ; maintenant, la bonne question est : qu’allons-nous avoir à mettre ? Car pour notre part, nous n’avons pas emmené de tenue de cocktail. Catherine jette un coup d’œil par la fenêtre : — Je pense, ma chérie, que nos hôtes ont pallié cette éventualité. Regarde qui arrive. La porte s’ouvre sans plus de façon sur nos amis d’hier soir qui nous saluent ; Dina et Maeva, suivies de John, tirent un portique sur lequel on distingue dans des housses des robes et des costumes. — Venez vous installer sur les fauteuils transat dehors ; nous allons vous apprêter. Il est vrai que pour ce week-end de la Pentecôte il fait bon, mais tout de même le thermomètre annonce 18° sous abri.— Ne vous inquiétez pas : vous n’aurez plus froid pour encore un moment, lance Dina. Nous rejoignons la terrasse où quatre transats sont installés en ligne ; une douche sur portique surplombe chaque transat. — Vous allez voir, c’est très agréable. Nous allons nous occuper de vous : manucure et rafraîchissement capillaire sont au programme, dit John. Les jeunes virevoltent de l’un à l’autre, rafraîchissant nos pubis et nos cheveux pour John et Dina, Maeva et Stan œuvrant à la manucure. — Prêts ? Une douche bienfaitrice nous inonde. Nos jeunes ...