1. Madame Besson - Chapitre 8


    Datte: 03/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... nichons, je me laisserai palper par vos clients et je les remercierai toujours, — Compris ma pute ? — Oui Mlle Fournier, dit madame Besson en ravalant ses larmes. Pardonnez-moi, pardonnez-moi Mlle Fournier, je serai plus attentive, — Allez, au travail. Un nouveau client, un grand noir, fait un signe impératif à Mme Besson, puis tel un prédateur, il tourne autour d’elle. — Viens me sucer ! Mme Besson se présente pour offrir sa bouche. Le client lui bloque la tête sans merci pour être sûr de jouir dans sa bouche, il fiche sa longue et épaisse tige veinée et raide au fond de sa gorge et du bout du doigt il joue avec l’anus qui s’ouvre involontairement. Sa main glisse le long des courbes, il joue avec son désir, ses gémissements lui indiquent pourtant ce qu’elle veut, il sait qu’elle est là, submergée par l’envie de se faire prendre sauvagement. Elle est sa garce, sa salope, sa chose, elle est à lui. Elle met tout son cœur et tout son dévouement, mais ça ne suffit pas. Une claque violente sur le cul lui rappelle son devoir ! Elle sursaute, visiblement surprise,mais en redemande. Le grand noir, très excité, appuie de plus en plus sur la tête de Mme Besson, elle avale comme elle peut la tige, le gland se frayant un chemin entre ses lèvres. Elle le branle dans sa bouche soyeuse, sa langue en léchant tous les côtés, aspire le membre foncé. Ses lèvres se tordent sous la taille de la chose, elle regarde rapidement le grand noir, ce dernier fixant ses seins qui se balancent, sans que ...
    ... les mains de l’homme les retiennent. Elle pompe, tandis qu’un deuxième doigt s’enfonce dans son intimité. Il sait y faire le salaud. — Suce à fond, Alors Mme Besson aspire de plus en plus fort tout en tenant fermement la base de la bite, il grogne, il lui baise la bouche et lui branle le cul dans le même temps, il est venu patiemment, pas à pas, à ses fins, elle a la bouche pleine, les mains posées sur le torse puissant du client elle sait qu'ensuite le pieux va prendre la direction de son cul, Mme Besson a les yeux écarquillés, il l'encule maintenant et elle se lève à chaque coup de queue qu'il lui donne, elle halète. Ses yeux clos, son râle, sa bouche légèrement ouverte trahissent une expression de désir. Pour être encore mieux baisée, elle enroule les jambes autour de la taille de l'homme. Il la laboure « Salope, putain, chienne, cochonne, vide-couilles », elle aime ces mots crus qui eux aussi la font jouir. Quand Mlle Fournier voit que sa salope a bien été nourrie au foutre et qu'elle commence à donner des signes de fatigue, elle décide qu'il est temps de rentrer à la maison, d’autant plus qu’il faut que sa poule reparte travailler le lendemain matin de bonne heure. — Besson ici ! Nous rentrons ! Demain je te déposerai, tu seras seule, j'ai des courses à faire, mais je passerai dans la journée chercher la comptée. Compris mon animal ? Mme Besson était heureuse de cette courte indépendance, Oh, oui Mlle Fournier, vous serez contente de votre animal, je vous le promets. 
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