La chandeleur à la Lula-Coquine
Datte: 08/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Ce matin, je me suis levée reposée mais avec un état d’esprit particulier et avec cette envie de jouir. Habituellement, j’aurai convenu d’un rendez-vous avec un de mes contacts sur le site mais là, non. Ce que je veux, c’est de la baise ! Rien d’autre. Je consulte les clubs de Paris et alentour pour voir ce qu’il est prévu pour cet après-midi. Après-midi « Crêpes Party » à l’Eden club, ce sera parfait. Je dépose mon fils au centre de loisirs et ma fille chez une amie. Je rentre chez moi et je m’active. Je me douche, je me crème la peau, je me coiffe et je m’habille. Je porte cette robe rouge que je mets souvent en club, accompagnée de mes escarpins rouge. Des sous-vêtements ? Non ! Me voilà sur la route, j’ai hâte ! A l’occasion, je rentrerai sans avoir fait quoique ce soit mais qu’importe. J’aurai découvert l’Eden club et à défaut de baiser, j’aurai vu des libertins baiser et c’est excitant. J’adore entendre les femmes jouir, j’adore voir les hommes s’activer à mettre des coups de boutoir, j’aime beaucoup de choses en fait. Ça y est, j’y suis ! Je prends une photo de l’enseigne en souvenir de cette première dans ce club. Quelques voitures sont déjà garées là, y a-t-il du monde ? Je m’empresse d’entrer pour voir ce qu’il s’y passe ! Pas une seconde à perdre, je n’ai que deux heures devant moi ! On me fait visiter les lieux, à vue de nez, je dirai que nous sommes une bonne vingtaine dont une moitié d’hommes. C’est très bien, je suis sûre de repartir avec ce sourire aux lèvres ...
... que j’ai lorsque je viens de finir de baiser. Habituellement, je commence toujours par prendre un café mais là, non. Un couple est déjà en train de coquiner et je suis là, à les regarder et à sentir monter en moi ces papillons dans le bas ventre… Très vite des mains se posent sur mon corps, je sursaute, elles sont froides, j’ai la chair de poule. Mais je me laisse faire et je reste plantée là à regarder la baise que nous offre ce couple. J’ai envie de me retourner pour voir qui me touche, qui me caresse mais j’attends encore. Je laisse courir ces mains sur moi et j’écoute. J’entends des gémissements et j’entends ces hommes qui se branlent. C’est un moment que j’affectionne particulièrement car cela me renvoie à ma pluralité masculine lorsque j’avais les yeux bandés et que je l’entendais se branler. C’est excitant et je mouille comme une salope ! J’ai envie ! Envie de sucer des bites ! Envie de baiser ! Envie de jouir !!! Je me retourne et je vois quatre hommes qui se tiennent face à moi, bite à la main ! Deux ne me plaisent pas, je choisis donc les deux autres. Je leur fais signe de me suivre. Un coin câlin de libre, je ne cherche pas à aller plus loin . Il faut que je suce ! Et de suite ! Je baisse complètement le pantalon de celui se trouvant le plus proche de moi et je me dépêche de porter à ma bouche son sexe. Sa bite n’est pas belle, elle n’a pas de « prestance » (Oui, je sais, je suis la seule à utiliser le terme prestance pour une bite !) mais qu’importe, je m’imagine ...