Drague avec mes fesses (5)
Datte: 04/08/2020,
Catégories:
Lesbienne
... Sandrine vient s’allonger sur le divan, je lui écarte un peu les jambes et pose mes lèvres sur son clitoris, Carole s’occupe de ses seins. Elle ne met pas longtemps à se tortiller sous nos caresses, elle coule abondamment et je me régale de sa cyprine. Sandrine ondule du bassin, caresse les fesses de Carole. –HHHHHUUUUUMMMMM quelles belles fesses. Elle se laisse aller, se plie à nos désirs, se donne. –Oui, j’aime vos langues, j’aime vos mains. Au bout de quelques minutes, elle jouit en criant très fort son plaisir. –AAAAAAAAHHHHHHHH Elle est arque-boutée sur le divan, les fesses à vingt centimètres du cuir. Quand elle redescend sur le divan, c’est Carole qui s’occupe de son sexe et moi de ses seins et de sa bouche. –Oui, encore, encore, j’ai envie d’exploser sous vos langues. Il lui faut encore moins de temps pour exploser dans un terrible orgasme. Sandrine est à peine calmée que la sonnette du porche sonne. –C’est certainement Florence. Je vais à l’interphone pour vérifier. C’est elle, je lui ouvre. Sandrine me rejoint, elle lui parle à l’interphone. –Il fait très chaud ici, je sais que tu ne supportes pas quand il fait très chaud, tu sais ce qu’il te reste à faire. –Reçu cinq sur cinq. Nous ouvrons la porte et attendons l’ascenseur. Il arrive lentement. Quand le porte s’ouvre, je vois une femme de vingt-cinq ans, avec des vêtements à la main. Elle vient vers nous en ouvrant son manteau sous lequel elle est nue, c’est la copie conforme de Sandrine, à peine plus petite. ...
... Elle n’a pas franchi la porte que son manteau est dans son autre main. En franchissant le seuil, elle laisse tout tomber et se jette sur Sandrine pour la prendre dans ses bras et l’embrasser passionnément. Je ne bouge pas en attendant qu’elles aient fini. Je ramasse les affaires et vais les poser sur le dossier d’une chaise, il n’y a ni slip, ni soutien-gorge. Elles entrent dans le salon en s’enlaçant. Florence arrête son amie. –Je ne peux pas rester plus de trois quart d’heure, Tu sais que je suis attendue à une réception de ma société à vingt heures à la Défense pour un colloque. Nous restons le week-end dans un hôtel. Je rentre dimanche vers vingt heures. –J’avais oublié, Florence, je te présente Julie et Carole, mes nouvelles amies. –Elles t’ont rendu heureuse j’espère. –Oh oui, je peux te l’assurer, tu n’as qu’à vérifier. Florence porte sa main sur la vulve de Sandrine, la malaxe un peu, la porte à ses lèvres et la lèche. –Oui, je vois que tu as bien profité de tes nouvelles amies. L’atmosphère est bizarre, je n’ai pas l’impression que Florence apprécie tant que ça la situation, j’ai l’impression qu’elle se force à trouver ça normal, je ne la sens pas en adéquation avec son attitude, son regard sur nous deux n’est pas très amical, mais je ne fais rien pour laisser transparaitre mes sentiments. Nous sommes toutes dans le salon, Sandrine et Florence sont aux petits soins l’une pour l’autre, comme Carole et moi-même. L’atmosphère se détend petit à petit. Sandrine raconte à ...