1. Baby-sitting (9)


    Datte: 04/08/2020, Catégories: Transexuels

    9 Dans la boutique, elle choisit une perruque couleur châtain, à cheveux mi-longs. En riant avec la vendeuse, elle m’en coiffa. Je riais avec elles. Je portais les mêmes vêtements que devant Frédéric, y compris les boots. Elle remit la perruque sur sa tête, la paya et nous quittâmes le magasin. Je me sentais bien, et l’offre de Ghislaine me laissait entrevoir un week-end de rêve. Nous dûmes faire deux fois le tour du pâté de maisons avant de trouver une place pour nous garer. Arrivés au pied de mon immeuble, elle me demanda : — Tu habites à quel étage ? — Au deuxième, comme toi, pourquoi ? — Parce que je veux te voir monter l’escalier devant moi. Tu as un très beau cul. — Pas aussi beau que le tien. Sitôt fermée la porte du deux pièces que je louais, elle enfourna sa langue dans ma bouche, tout en me pelotant les fesses. — Tu me préfères en brune ou en rousse ? — Je m’en fous, je te préfère tout court. Bonde, brune, rousse, j’ai sans arrêt envie de toi. Je ne débande pas depuis hier soir ! Honnêtement, j’en suis même presque étonné ! Je descendis le zip qui fermait sa jupe, mais sans toucher au bouton pression, puis glissant ma main sous le cuir par l’échancrure, je la caressai à mon tour. Mon doigt parcourait la raie de ses fesses en appuyant sur le satin. Bientôt, elle n’y tînt plus et dégrafa elle-même sa jupe. Elle la fit glisser au sol, pendant que je me défis à mon tour du doux pantalon de cuir et des boots. J’ôtai ensuite le sweat, pour me retrouver devant elle ...
    ... vêtu uniquement d’un mini-slip rouge et d’un soutien-gorge assorti (mais hélas, vide)! Elle ne portait plus pour sa part que ses superbes bottes blanches et sa culotte, blanche elle aussi et comme elle l’avait dit identique à celle que je portais moi-même. — "Tu rêvais de quoi, déjà, lorsque je t’ai réveillé ce matin?" me demanda-t’elle malicieusement en faisant descendre sa main sur mon ventre. Elle me coiffa alors de la perruque qu’elle venait d’acheter. Elle me sourit de toutes ses dents, m’enleva le dernier rempart à ma nudité, et le fourra dans le bonnet droit de mon soutien-gorge. Puis elle enleva son propre slip, le mit dans l’autre bonnet, rajouta un mi-bas dans chaque "pour faire bonne mesure" et me dota ainsi d’une poitrine 90B! Elle me fit asseoir dans le canapé clic-clac qui meublait mon salon, s’assit à califourchon sur moi en plaquant la pointe de ses tétons contre mes faux seins et colla ses lèvres contre les miennes. Elle entortillait ses doigts dans la perruque et je sentais ses ongles dans mon cou tandis que sa langue s’enfonçait sans relâche dans ma bouche. — Tu vois que tu n’es pas loin d’être un hermaphrodite! Ma seule réponse fut un gémissement de plaisir lorsqu’elle s’empala sur moi. Elle prenait plaisir à frotter ses bottes de haut en bas contre la peau épilée de mes mollets. Nous jouâmes à faire se toucher l’extrémité de nos deux langues tendues ; nous prenions nos seins à pleines mains pour les mettre face à face et nous caresser mutuellement avec. — ...
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