1. Baisée comme une chienne devant mon mari


    Datte: 05/08/2020, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Première fois

    ... continue de s'ériger.Je sens mon sexe redevenir humide et j'écarte les jambes machinalement tout en finissant d'éponger le sol.La seconde main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première laisse mon clitoris, il est à genoux derrière moi. Je sens sa virilité se frotter contre la raie de mon petit cul.C'est lorsque son gland tente d'investir ma matrice génitale que je réalise tout à coup ce que je m'apprête à faire. Malgré mon état alcoolisé, je me relève d'un bond pour sortir des toilettes. Le patron me ratt**** in extrémis et referme la porte salvatrice avant que je n'ai eue le temps de m'échapper.Il me retourne de force, me prend par les cheveux et me bloque, les seins contre le lavabo. Il passe sa main entre mes cuisses qu'il écarte et positionne son gland à l'entrée de ma fente et introduit sa verge entre les lèvres de mon sexe. L'homme m'att**** la taille à deux mains et m'empale de toute la longueur de son pieu pendant que je crie. Je sens son membre investir et il commence à me violer avec vigueur. Résignée, j'ai cessé de crier et laisse mon involontaire amant me baiser.Il va et vient dans mon ventre et je tends maintenant ma croupe pour qu'il m'enfouisse sa grosse queue au plus profond de mon intimité. Il resserre mes cuisses afin de mieux sentir ma chatte se refermer sur son sexe et après quelques minutes, dans un dernier soubresaut, il décharge son foutre à l'assaut de mes ovaires. Je recule encore un peu afin de bien sentir sa chaude semence dans mon ...
    ... vagin.« Mais qu'est-ce que j'ai fait ! » Me dis-jeSoulagé, il me lâche et je sors des toilettes.En sortant, le cul à l'air, trempée comme une chienne, du sperme dégoulinant de mon sexe sur mes cuisses, je m'aperçois que cinq des hommes ont quitté la table commune, ils se sont attablés et discutent dans cette arrière salle toujours autour de plusieurs bouteilles d'alcool, je vois de même mon mari de dos qui parle et continue de boire avec les deux autres de la troupe. Je réajuste ma jupette, essuie tant bien que mal le foutre qui me coule dessus et me dirige le plus rapidement possible ce qui est un euphémisme vu mon état, vers ma table, toujours en titubant et en me tenant, c'est alors que l'un des cinq hommes m'interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre mon mari et partir au restaurant afin de donner quelques conseils féminins avertis au futur marié.Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse le plus costaud de la bande m'att**** rapidement par le bras et me demande de m'asseoir. Forte de l'expérience des WC, je refuse mais la main ferme qui me maintient, mon équilibre précaire et mon esprit embrouillé ont raison de mes réticences. Les autres chaises étant toutes retournées sur les tables ce galant homme m'installe d'autorité et sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en me tenant par la taille.« Cela ne vous gêne pas j'espère » finit-il par me dire. Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l'atmosphère ...
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