Vacances, sexe et exhib. (13)
Datte: 05/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... sexe se présenter à mon entrée. Je regarde qui est cet intrus : une queue emballée dans une capote, dans la bonne position et prête à me harponner. Je remonte jusqu’à l’oreille de mon chéri pour lui expliquer la situation. À ma grande surprise, j’obtiens un « Si cela te fait envie, alors vas-y. » Mince alors : pour une surprise, ça c’en est une ! Je retourne à mes occupations en faisant un oui à la tête, celle qui est au-dessus de la tête de nœud. J’ai la bouche pleine quand deux mains me prennent par la taille, et la capote vivante pénètre mon intimité. « Oh, Julie, tu es en train de sucer ton mec pendant qu’un autre te saute… Belle mentalité. Fais-toi enculer pendant que tu y es, ma cocotte ! » Non, ce n’est pas Pat qui me parle : c’est ma conscience. En tout cas pour le « enculer », j’y vais. Je passe ma main entre mes jambes, attrape l’intrus et le fais sortir pour lui indiquer le chemin du dessus qu’il prend sans broncher. Il me pilonne comme un fou ; à chaque coup, le vit de Pat me tape au fond de la gorge. Le mec va de plus en plus vite jusqu’à ce que je le sente éjaculer en moi. Moi, je suis au bord de l’orgasme mais je le maîtrise ; tant mieux, car un autre mec remplace le premier. J’arrête de le sucer pour l’embrasser avec une bite dans le cul : c’est avec mon chéri que je veux arriver à l’orgasme, pas avec ...
... un autre. L’homme a fini ; il se retire. Puis un nouveau, et encore un autre. Je prends un énorme plaisir, mais j’ai trop envie. Je me relève ; il me dit un merci à l’oreille. C’est avec mon homme que je veux conclure. Je glisse sur ses cuisses, rencontre sa verge et me place au-dessus pour pouvoir m’y embrocher doucement. C’est l’extase, c’est doux. Il me caresse le dos. Je suis tout contre lui, bien calée, les bras autour de son cou. Notre baiser et amoureux, tendre ; j’en oublie ce qu’il se passe autour, puis j’entame un mouvement de va-et-vient. Il vole à mon secours en me soulevant, ses mains sous mes fesses, et me besogne sans ménagement. Le moment suprême arrive ; pourvu que lui aussi arrive en même temps que moi, ce serait génial ! C’est le cas : ensemble à la fraction de seconde près, notre bonheur est commun. Je lui entoure le cou et l’embrasse avec passion ; lui me serre le torse. Son étreinte est si forte que je ne peux plus respirer. Je lui tapote la tête… « Au secours, au secours, je vais mourir ! » Une pose, un bon verre. Pat en string ; nous les filles, à poil. Et tant pis pour les mains aux fesses, nous allons danser au rythme endiablé de la musique. Cette première découverte d’un club libertin est géniale. Nous allons nous coucher à la fermeture du club, à l’heure où le soleil se lève. [ à suivre ]