La reine Margo - 7
Datte: 08/10/2017,
Catégories:
Lesbienne
Mature,
Partouze / Groupe
Le cirque des monstresAprès être sortit de l’enceinte du château, et passé les douves, l’on prit un chemin de terre en pente chauffé par le soleil qui traversait un petit bois touffu pour arriver quelques minutes plus tard a l’entré de la ville près d’une grande fontaine. Une dizaine d’enfants s’y baignaient à moitié nus en se lançant de l’eau en riant. Plusieurs vinrent à notre rencontre en courant dès qu’ils m’aperçurent.-Reine Margo ! Reine Margo ! Cria une gamine au long cheveu roux et aux yeux d’un vert émeraude en m’enlaçant et posant sa tête mouillée sur mon ventre, il y a longtemps que l’on ne t’a pas vue, presque une semaine.-Je sais, Amélie, c’est long une semaine a ton âge. Alors les vilains garnements, toujours a faire de mauvais coups. Dis-je aux autres.Les garçons baisèrent les yeux en souriant, quelques filles aussi pendant qu’un vieil homme passait avec sa charrette à bœuf en me saluant tout en reluquant ma poitrine. Il allait livrer des victuailles et du vin au château, sans doute, pour la fête de ce soir.-Je vous présente mon amie, les enfants, Mara la sorcière.Tous la regardèrent les yeux ronds.-C’est une vraie sorcière, fit la petite Amélie interloquer les yeux tout ronds ? Comme elle est grande !-Oh oui ! Une vraie sorcière ma belle, alors il ne faut pas la taquiner sinon elle pourrait bien vous changer tous en de vilain petit crapaud. Bon, a bientôt les enfants.Ils retournèrent en courant sauter dans la fontaine.On fureta un peut partout en discutant ...
... avec les gens ici et la, visitant des boutiques, puis on prit un bon repas dans la taverne du père Juan pour le dîner en prenant une bonne bière fraîche tout en écoutant l’homme, très jovial nous raconter des histoires de chasse plus improbables les unes que les autres, parlant d’ours géant et de licorne, mais cela fit rire Mara aux larmes. Finalement, tard en après-midi, je n’en pouvais plus, il fallait que je dorme. Je laisser donc Mara dans une boutique remplie de vieillerie et de codex qui l’émerveillait comme une enfant et rentrer au château, épuiser. Je grimper a ma chambre en traînant les pieds, enlever ma robe et tomber sur mon lit à plat ventre pour m’endormir aussitôt.Quand j’ouvris les yeux, toujours coucher sur le ventre, il faisait noir et toujours aussi chaud et quelqu’un me tapotait les fesses pour me réveiller, ce qui me fit sourire. Je rouler sur le dos, alanguie et encore vaseuse pour apercevoir ma sœur, assise sur le bord du lit, un bougeoir à la main et nue. Son corps tout blanc, moite de sueur, reluisait à la lueur de la flamme et sa main qui me tapotais les fesses c’était retrouver sur mon pubis qu’elle caressa laissant ses doigt glisser dans ma toison noire. Je ne pus m’empêcher de frissonner et de lui caresser une cuisse si douce en faisant craquer mes orteils. Nos belles rondeurs étaient si semblables que chaque fois que je voyais ma sœur nue j’avais l’impression de me regarder dans un miroir. Mais ce soir, elle avait toujours les cheveux tresser et pas ...