1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Anne-Marie, sa mère (1)


    Datte: 05/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Je reviens sur terre, il gémit sous la caresse. Complètement subjuguée par la taille de son manche dans ma main. Je me lance et lui souligne d’une voix douce. -Tu es drôlement bien membré. Je ne savais pas qu’il y avait sous mon toit encore mieux que dans les films pornos... Tu veux que je continue? J’aurais dû me retirer si j’étais une bonne mère, quitter sa chambre et le laisser seul, mais plus le temps passe et plus j’ai envie de lui. Qui ne dit rien consent, je continue donc à branler doucement pendant de longues minutes son beau pénis. Il est devenu d’une dureté ferrugineuse. Le désir sexuel est très fort chez lui. Il s’enhardie, tend la main et caresse un sein qui s’est échappé de la robe de chambre qui ne cache plus grand-chose et s’enhardit en embrassant l’autre. Il relève la tête et me regarde tendrement en m’avouant : — J’ai envie de toi, maman. Si tu savais combien de fois j’ai rêvé à ce moment là ! C’est mieux que dans mes rêves, si tu savais le nombre de fois ou je me suis branlé en pensant à tes seins, ta bouche, ta chatte ! Je sais que c’est mal, une faute impardonnable, mais l’envie de lui faire l’amour est plus fort que l’interdit. Il s’approche de moi et dépose ses lèvres sur les miennes. La vue de son corps fait monter en moi un désir insoutenable. On échange nos langues affectueusement. Nos bouches sont chaudes, humides, prêtes à s’accueillir, à s’unir et à s’aimer. Je lui caresse la peau. Elle est douce et duveteuse. Après un tendre et long baiser, il se ...
    ... couche sur le dos. Je perçois cela comme une invitation à explorer son corps. Je m’exécute. Ma langue et ma bouche parcourent son épiderme du cou jusqu’aux parties génitales, en passant par ses pectoraux, ses abdos, son nombril. Je me délecte de sa peau. Avant de lui faire une fellation, je lui gobe les testicules. Il râle de plaisir. Je prends ensuite son pénis dans ma bouche et le fait glisser doucement en prenant soins d’exciter son gland avec ma langue. Il pousse un long et profond soupir lorsque la tête de son membre atteint le fond de ma gorge. J’oublie peu à peu, au fur et à mesure que nos échanges le lien filial, Je me sens tout à coup très chatte, même chienne. Je décide de lui faire une branlette espagnole et emprisonne sa verge entre mes seins. Il vibre comme rarement j’ai vu un homme vibrer avant lui. Je lui suce le bout de la queue sans interrompre mes mouvements à chaque passage. Je l’entends grimacer : -Oh, maman, arrête, tu vas me faire jouir, c’est divin! Je lâche à regret sa bite, enlève ma robe de chambre et grimpe sur le lit me mettant tête- bèche. Patrick commence à frotter ses doigts sur ma vulve humide et je reprends en main sa grosse teub en parfaite érection. Je lui suggère d’une voix rauque et profonde. — Oh oui fils indigne, joue avec la chatte qui t’a fait naître ! Je n’en reviens pas de ce que je viens de dire, c’est mon fils, mais je ne vois plus en lui qu’un amant avec un énorme gode de chair. Il me sourit et hoche la tête Deux doigts explorent ...
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