1. Berlin


    Datte: 06/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe

    ... docilement ranger mon bureau en nous montrant ton petit cul de pétasse. Voilà, comme ça. Quand tu auras fini, tu poseras tes avants bras sur mon bureau, le corps bien plié à 90 degré.Isabelle est près d’un client, ils ne peuvent entendre ce qui se passe dans notre bureau. Je surveille cette pouffe. C’est dingue avec quelle rapidité elle me remet tout en ordre sur mon bureau, c’est même mieux qu’avant. Puis, docile, elle se met exactement comme je le lui avais ordonné.Là, je ne me sens plus. Mes mains sur ses fesses, je masse son cul, très beau au demeurant. Je la sens gémir, son souffle est court quand doigts s’enfonce dans son sillon. Elle mouille, c’est certain. Quand je lui claque méchamment son cul, sa tête s’enfonce entre ses bras avec un ouille de circonstance. Je caresse, je gifle ce cul. Plus je frappe fort, plus elle gémit fort. Mais quand mon pouce s’enfonce dans son cul, enfonçant sa culotte par la même occasion, c’est une bombe atomique que j’ai devant moi. Je la redresse, ajuste sa minijupe, remets en place une mèche de ses cheveux.- Tu vois que tu peux être une bonne fille. Vas, rejoints ta collègue et sois bien sage.- Oui, mademoiselle.- Ben voilà qui est nettement mieux. Là, tu me plais ma belle, parce que tu me ressemble et je suis sincère. Il y a une amie de ma Maîtresse qui cherche une jeune femme telle que toi, ma belle. Tu lui plairais à coup sûr.- Je peux être franche ?- J’y compte bien !- Présentez-moi cette dominatrice, je vous en supplie. Il y a ...
    ... juste un problème, le patron me tient par…comment dire….- Les couilles. Je vois. T’inquiète, je m’en occupe. Il te suffit de me faire un mémo sur ton souci. Vas maintenant !La jeune demoiselle m’embrasse à pleine bouche au moment où Isabelle pénètre dans le bureau, même pas choquée. La petite réceptionniste s’en retourne. J’appelle Mademoiselle, lui fais un topo très précis sur cette jeune femme. Je la sens heureuse, joyeuse même. Elle me fixe rendez-vous ce soir, chez elle. Il parait que monsieur Heinz veut me voir absolument avec Béa. Je piaffe déjà d’impatience, il semble que nous allons jouir dans un film de Monsieur Heinz. Je suis comme folle, embrassant Isabelle avec un baiser si violent qu’elle doit le ressentir comme un viol, un délicieux viol.La journée terminée, je n’ai pas le temps d’être devant la porte de l’agence que Mademoiselle est là, assise à l’arrière de sa voiture, Béa, ma douce Béa au volant. Comme à chaque fois, je m’agenouille sur le pas de la portière, m’incline avec déférence, baise le pied de Mademoiselle avant sa main qui se tend tendrement sur mon visage. Sa main dans les miennes, je la lèche, l’embrasse avant de monter près d’elle. Isabelle n’a rien manqué, le directeur non plus, ce cave.Chez Mademoiselle, Monsieur Heinz est là, jouant avec le corps d’Agnès enfin libérée de toutes ses appréhensions. Je baise le divin cul marqué d’Agnès d’un baiser lascif, j’y ajoute un long et impudique coup de langue dans son sillon intime. Je me retourne, ...
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