1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (9)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... préfère encore que tu sois chez elle demain après-midi ! — Je ne peux pas. — Et pourquoi ? — Parce que je pense trop à toi. Une larme discrète s’écoulait sur sa joue. Ma tante mesurait l’ampleur de mes derniers mots. Dans un élan d’affection, d’amour que sais-je, elle se colla contre moi. Je caressais ses jambes, ses cuisses et je remontais sa jupe. — Tu n’as pas de culotte ! — Bah non, j’attendais le dernier entraînement. — Ah on ne perd pas le Nord ma belle cochonne ! — Oh bah dis-donc. Rigola-t-elle de mes mots osés. — Tu te sens prête ? — C’est pas Patricia qui va gâcher notre soirée et puis on ne va pas en faire un drame ! Si tu couches une fois avec elle, ça ne va pas remettre en cause notre couple ? M’interrogeât-elle en assimilant notre relation à celle d’un couple. — Pour moi non, tu l’as dit. On devient un couple. Ajoutai-je en déboutonnant son chemisier. — Bon elle est plutôt mignonne ma copine ? Demanda-t-elle en se retrouvant en soutient gorge. — Elle ne t’arrive pas à la cheville ! Lui dis-je en le lui ôtant. — Patrick, je crois que l’on serait mieux en haut. J’avais dans chacune de mes mains ses seins offerts, mais ma tante se déroba pour que je la retrouve dans sa chambre. Le temps de fermer les volets, je montais pour l’attendre patiemment sortir de la salle de bains. Bien entendu, elle était à nouveau dans son rôle de soumission et quelque chose me disait qu’elle n’avait rien contre cette relation maitre-esclave, dans laquelle je faisais ce qui bon me ...
    ... semblait…pour moi tout en pensant à elle. Avec les cheveux encore mouillés, elle avait gardé un zest de maquillage au niveau des yeux, renforçant l’éclat de ses yeux bleus et avait juste enfilé son peignoir. — Ouvre voir que je regarde ton corps. — Oh j’aime pas me montrer à poil comme ça Patrick, tu le sais très bien. Se lamenta-t-elle en l’ouvrant néanmoins. — Y a pas à dire, j’ai une tante qui n’est pas commune ! — Comment ça ? S’inquiéta-t-elle en maintenant son peignoir ouvert. — T’es foutrement attirante pour ton âge. Lui répondis-je en palpant ses seins reposés. — Mais je peux dire la même chose de toi. Ajouta-t-elle en s’approchant pour m’embrasser. — Viens avec moi. Lui dis-je en l’encourageant à descendre l’escalier. — Ah ? …Moi qui croyais que tu préférais la chambre. Ajouta-t-elle en me prenant le bras. Une fois dans le salon, je n’allumais que la lumière de la cuisine et je m’installais dans le canapé. Véro, ni surprise, ni inquiète attendait mes ordres en quelque sorte. Elle était sublime dans son peignoir blanc et d’un geste, je lui fis signe de s’en débarrasser. Elle se tenait debout face à moi, nue, guettant ma nouvelle consigne. — Assieds-toi au milieu de la table basse et écarte les jambes face à moi. Décrétai-je. — Je ne sais pas où tu veux en venir. Se demanda-t-elle en s’installant. — Maintenant Véronique, masturbe-toi. Lui ordonnai-je. Ma tante marqua un temps d’hésitation, visiblement déstabilisée et mal à l’aise. Elle était bigrement alléchante et j’aimais ...
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