1. De plaisir en douleurs délicieuses 1


    Datte: 06/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Sexe Interracial,

    ... scène qui s’offre à mon regard. Une scène pas la plus bucolique qui soit. On y voir une femme attachée et baisée ou violée, c’est à voir. Sur son corps, on peut y voir des zébrures sur son corps. Donc, je penche pour une scène de torture japonaise et violente.- Je m’excuse, pourriez-vous me dire qui est l’auteur de cette grande gravure japonaise sur le mur près de la statue du dragon ?- Oui, ce n’est pas un artiste japonais, mais un jeune femme qui vit ici, en ville. Elle a fait de nombreux séjours au Japon, une petite dizaine qui duraient entre deux et six mois. Pourquoi cette question, il y a un problème ?- Un problème ? Non, pas du tout, sauf que la gravure est double. Regardez cette photo. Là, c’est normal, on voit les poissons, les filets et le pêcheur et maintenant ?- Oh mon dieu, c’est une scène de sévices sadomasochistes japonais et bien faite.- Effectivement, elle vaut combien ?- 1200.-, Monsieur.- Je vous la prends alors. Je repasse après, je veux voir le reste. Oh, je vous laisse ma carte d’identité pour que vous puissiez faire l’acte de vente.- Très bien, je vous laisse poursuivre.Je refais un tour, des fois que je découvre d’autres œuvres doubles. Je crois bien avoir fait des photos de toutes les tableaux de cette première partie, il n’y en avait qu’un qui était à double tranchant, si je puis dire.Je passe donc allègrement le rideau et là, j’ai eu une de ces putains d’érection, de celle qui vous font hurler tellement elle vous fait mal. Shibari, scène SM, ...
    ... scène érotique, fétichiste, il y en a pour tous les gouts. C’est un premier tout rapide que je fais, notant, au passage, les œuvres pouvant m’intéresser. Puis, au second tour, j’approfondis avec minutie, traçant celle qui ne m’attire plus de ma liste. Au final, il n’y a plus que deux estampes traditionnelles avec pour sujet le fétichisme, trois gravures sur le Shibari et le sadomasochisme ainsi qu'une grande gouache représentant une salle de torture et une femme salement entreprise par un bourreau aux traits sadiques. Là encore, mon œil perçant remarque un détail tout con. Un détail qui va me faire entièrement revoir ma liste. Un visage, celui de la femme qui figure sur toutes ces œuvres. C’est toujours le même, un peu mit à la mode japonaise, mais un visage identique sur tous les tableaux. Je retourne voir l’employée de la galerie.- Dites-moi, derrière le rideau, c’est tout du même artiste ou je me trompe ?- Pas du tout, vous avez totalement raison. C’est la même artiste que pour la gravure. Du reste, elle devrait passer d’ici à 20 heures. Oh, il me faut votre signature pour la gravure.- Et de quoi vous régler la note. Un chèque, ça vous convient ?- Parfaitement, tous les modes de payement sont acceptés.- Voilà, le chèque et je pense que je vais vous prendre d’autres œuvres. J’y retourne. Excusez-moi, auriez-vous de quoi écrire, un petit calepin par exemple.- Très certainement, voici, monsieur.- Merci !Derrière le rideau, je fais encore plusieurs fois le tour des tableaux ...