1. Charlène, sa nièce et son amie (1)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pour envahir le Cap ont débordé jusqu’ici. Tous les âges, toutes les nationalités, c’est la tour de Babel du sexe. ksgkux Nous trouvons un endroit plus calme sous le patio, buvons un couple de mojitos, puis nous allons danser. Quand nous revenons, une fois assises, ma nièce légèrement pompette se lance dans des confidences . Elle me dit qu’elle trouve que je suis une belle femme, que je lui plais beaucoup. Elle apprécie également ma manière de vivre et espère s’épanouir en s’ouvrant aux autres comme je le fais. Je la remercie en me demandant où elle veut en venir. Elle reprend en baissant légèrement le regard. Elle m’avoue se sentir totalement lesbienne et l’assumer sans aucune gêne. Je sens qu’elle tourne autour du pot et je la laisse venir. Finalement elle me prend la main et me dit que son type de femme, c’est mon clone, Claire Chazal. Cette fois-ci je suis fixée! Je lui caresse doucement la joue et elle approche son visage du mien. Elle m’enlace et pose ses lèvres sur mon visage puis sur ma bouche. Je réponds à son baiser. Nous nous caressons quelque peu en ous étreignant puis nous décidons de rentrer. Dans la voiture ma nièce pose sa tête sur mon épaule et se laisse aller en déclarant qu’elle se sent super bien. Nous rejoignons la maison et nous glissons toutes deux nues dans la piscine. Charlotte s’enroule comme une liane autour de mon corps et m’embrasse à bouche perdue. Je la presse contre moi et découvre ...
    ... de mes mains ses petits seins et son fessier charnu. Elle en fait de même avec mon anatomie. Nous sortons maintenant de l’eau et, toujours enlacées, prenons possession d’un transat double. Charlotte à califourchon sur moi entreprend de lécher mon bas ventre. J’ai sa vulve à la verticale de ma bouche et je lui rends sa caresse. Je suce son petit abricot jusqu’à ce qu’il s’ouvre sous ma langue. Ma nièce fouille ma chatte de ses doigts en suçant mon clitoris. Je la pénètre également d’un, puis deux doigts. Elle est assez serré car peu de bites ont eu le loisir de se faufiler dans cette intimité. Elle est surtout clitoridienne et c’est en léchant sa protubérance que je l’amène à l’orgasme. Elle jouit sans retenue noyant mon visage de cyprine. Cette jouissance appelle la mienne et je me lâche à mon tour sur son minois. Je suis secouée pendant plusieurs minutes de crampes violentes. La coquine ne veut ni renoncer à mon bouton , ni ôter les doigts qui envahissent ma cavité. Je la fais éclater à son tour en comprimant son clitoris entre mes doigts, puis en le mordillant. Nous restons enlacées de nombreuses minutes, nos corps secoués sporadiquement par le désir. Finalement nous nous endormons là, dans la chaleur moite de l’été. Les deux jours suivants furent ceux d’un couple amoureux. Nous étions tombées amoureuses l’une de l’autre. La complication survint au retour d’Eva, l’amie de ma nièce. Mais ceci est une autre histoire. 
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