1. L'amour d'un père (8)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... laquelle il évite de parler de sexe avec moi et où il est très tendu. Je ne pense pas en avoir vraiment besoin, mais je l’en remercie quand-même. C’est sa façon de me dire qu’il partage ma peine, je dois dire que cela me fait du bien. Je l’aime très fort, mon cousin. Les choses redeviennent néanmoins normales très rapidement et je reprends mon entreprise. Je tourne les événements à mon avantage en lui donnant des signes que je suis ouverte et disponible. Je lui mens en disant à quel point je suis en manque depuis que je suis célibataire. Je lui raconte que je me masturbe la nuit, que j’ai besoin d’un homme, que je serais prêt à tout pour une bonne bite. Parallèlement, j’exprime notre rapprochement en me montrant de moins en moins pudique. Je n’ai pas peur de me balader en culotte et en nuisette devant lui, sous prétexte que, de toute façon, nous sommes "en famille". Je le sens me dévorer des yeux, j’adore ça. Le pauvre, cela doit être dur pour lui. J’espère qu’il se branle dans son lit en pensant à moi. Je deviens plus câline, également. Je me presse contre lui quand nous regardons la télé ensemble, je m’assois sur ses jambes lorsque nous étudions ensemble, etcétéra. Je peux parfois sentir sa verge se dresser dans son pantalon. J’ai atteint la phase que je voulais : il me veut, mais il n’ose pas. Il me reste plus qu’à le pousser un petit peu. Du moins, je le pensais. J’essaie, j’essaie, mais rien ne vient. Je me demande vraiment ce qu’il attend. Je sens qu’il est torturé. ...
    ... Il est puceau, il a envie de baiser et il passe beaucoup de temps avec une fille disponible qu’il sait capable de réaliser tous ses fantasmes ; alors qu’est ce qui le retient ?! Je multiplie les provocations, mais en vain. Le printemps est arrivé depuis un bon moment et l’été n’est plus très loin. Il fait anormalement chaud pour cette période de l’année, du coup, nous avons prévu d’aller bientôt à la piscine en famille. J’y vois une occasion de sortir l’artillerie lourde. Je l’invite dans ma chambre pour une séance d’essayage de maillot. Je justifie cela en disant que je ne sais pas ce que je vais porter et que j’ai peur qu’il m’en faille peut-être un nouveau. Je lui montre plusieurs de mes bikinis. Il bande comme jamais en me voyant à demi-nue. Il est gêné, je trouve ça adorable, mais j’ai envie qu’il craque. Il ne peut pas s’empêcher de poser ses yeux partout sur mon corps. Quand il essaie de s’en détourner, j’insiste en lui disant : — Non, mais, regarde-moi, qu’est ce que tu en penses ?! Et il se retourne vers moi le visage rouge comme une pivoine. Au bout d’un moment, il n’en peut tellement plus qu’il trouve une excuse pour s’absenter quelques minutes. Je soupire de désespoir. Je veux qu’il me saute dessus, au lieu de ça, il est parti se calmer un peu. Je réalise que je vais devoir prendre les choses en main si je veux que quelque chose se passe. Je m’interroge sur le "comment" il est en train d’essayer de se calmer et je pars à sa recherche avec un espoir en tête. Je me ...
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