1. L'amour d'un père (8)


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Putain... Erika... — J’ai trop besoin d’une bite dans le cul. Si tu savais combien j’aime la sodomie. — Salope ! Je le sens déjà à l’agonie. Moi aussi, j’en ai plus pour longtemps. Balancer des phrases salaces a autant d’effet sur lui que sur moi : — Oui, ta cousine est une salope et elle va se faire jouir devant toi en s’imaginant que tu la baise. Je rajoute quelques doigts. Je me lime moi-même au bord de l’orgasme. — Je vais venir Lucas, je vais jouir ! J’ai besoin de partager ça avec lui. — Erika... Il se masturbe comme un malade. Je n’arrive plus à détourner les yeux de sa belle bite. Soudain, je sens la vague de plaisir m’emporter. Je crie en me laissant jouir. Au même moment, je le vois éjaculer dans le vide. Je me régale du spectacle de sa queue baveuse expulsant du sperme rien que pour moi. Nous jouissons tous les deux, s’exposant l’un à l’autre. Je tremble sous l’effet du plaisir, je monte au septième ciel. Je voudrais ne plus jamais redescendre. J’ai le souffle coupé. J’ignore combien de temps cela dure, mais cela finit hélas par passer. Je parviens à nouveau à respirer, je reprends lentement conscience d’où je suis. Je rouvre les deux et lui souris. Je suis encore à moitié étourdie. — Hmmm, c’était bon. J’en avais besoin. — Moi aussi, dit-il. Je regarde le sperme qu’il a envoyé sur le sol : quel gâchis. Connaissant son fantasme, je suis surprise qu’il n’ait pas profité de l’occasion pour s’approcher de moi lorsque j’étais sans défense pour me recouvrir de son ...
    ... foutre. Il est encore coincé, trop coincé ; mais cela lui passera, je compte bien m’en charger. Après s’être rhabillés et nettoyés un peu le carrelage, nous nous séparons. Malgré qu’il ne m’ait pas baisée, je suis satisfaite. Je crois qu’il va se rappeler de cette journée pendant longtemps. Je m’attendais à ce qu’il passe à l’action les jours suivants, mais il ne fait toujours rien. J’agis comme si rien ne s’était passé entre nous. J’ai toujours la ferme intention d’attendre que ce soit lui qui fasse le premier pas. Lui, je sens qu’il est depuis très gêné en ma présence. Il doit repenser sans arrêt à ce que nous avons fait. Dès qu’il me regarde, je suis certaine qu’il doit avoir cette image en tête de moi en train de le sucer à genou. Il lutte intérieurement. Il a envie de moi, mais des barrières l’empêchent encore de laisser libre court à ses instincts. Je sens pourtant qu’il essaie vraiment de faire sortir le pervers qui est en lui comme un oisillon qui perce sa coquille ; comme la fois où, tout timide, il me dit sans détour : — J’ai fais comme tu m’as dis, je me suis branlé en pensant à toi aujourd’hui. C’est mignon. J’imagine que cela doit lui arriver souvent. Je me dis que ce n’est plus qu’une question de temps. Quand nous faisons des révisions ensemble et que je m’assieds sur ses jambes, je peux ressentir son érection. De temps en temps, je joue avec lui en remuant innocemment le bassin pour mieux le sentir. Quelque chose me dit qu’après qu’on ait fini, il va se dépêcher ...
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