La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°871)
Datte: 07/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode N°868) – Et sur Ses paroles, Walter frappa à la porte… - Ah Walter ! Te voilà. (Se tournant vers moi) Toi, la chienne, va donc te mettre à genoux, mains sur la tête dans l’angle là-bas. (Puis reprenant Sa conversation avec Walter) Il faut que nous parlions. Cette chienne, qui est officieusement à Mon service depuis plus de trois ans, et officiellement depuis quelques mois, n’a pas pu recevoir de dressage digne de ce nom, à cause de la distance et de sa vie vanille. Maintenant qu’elle est « libre », il va falloir s’occuper d’elle intensivement. Elle est vraiment mal éduquée ! Elle jouit sans autorisation, crie pour un oui ou pour un non, c’est insupportable ! J’ai néanmoins besoin d’elle rapidement comme secrétaire de direction. J’aimerai avoir ton avis, mon ami. - Monsieur le Marquis, j’ai bien une idée si Vous voulez bien me le permettre. Tout employé vanille a deux jours de repos, une mère peut avoir en plus son mercredi après-midi. Que cette demi-journée là et les deux jours de week-end soit consacré à son dressage, en plus du temps chaque soir, qui doit y être consacré. Ainsi, le reste de la semaine, elle pourra remplir sa mission. - Très bonne idée ! Bien je te la confie jusqu’à demain. Tu sais ce qui l’attend comme programme. Mais auparavant, elle doit être punie pour avoir joui sans autorisation. - Bien Monsieur le Marquis, dit le Majordome avec un sourire pervers. Je m'en occupe, vous pouvez compter sur moi, pour dresser ...
... cette petite chienne MDE ! - Bien ! Laisse-moi à présent, j'ai à faire ! Le Maître quitta Sa chambre sans m'accorder la moindre attention, le moindre regard. D'un claquement de doigts, Walter m'appela à ses pieds, où je me rendis évidemment à quatre pattes, il saisit ma laisse et m'entraina hors de la pièce. Nous parcourûmes de nombreux couloirs et escaliers de pierre, toujours en les descendant par des pentes étroites et assez abruptes en colimaçon. Me trouvant trop lente, il m’ordonna de me relever et de garder tête et yeux baissés. - Voilà encore un point où il va falloir que je te dresse, chienne ! Tu dois être capable de suivre à n'importe quelle cadence, sur n'importe quel type de sol, et sur n'importe quel support ! Décidément il y a vraiment beaucoup de travail à faire avec toi ! Je me sentais humiliée par ses propos. Je n’étais quand même pas si nulle que ça ? Enfin, je savais que je n’étais pas une soumise parfaite, mais depuis que j’étais arrivée, on me disait quand même franchement que je ne valais pas grand-chose comme telle, et que je ne dépassais pas le stade d’une soumise novice. Ma nature commença à me pousser à me lamenter intérieurement. Je ne valais rien, je ne serais jamais la soumise que voulait le Maître. Je venais de foutre en l’air mon mariage pour tout Lui donner, et finalement je n’étais bonne à rien… Walter sentait que je ralentissais. J’étais tellement perdue dans mes pensées que je ne sentais pas la tension dans ma laisse. En revanche, je sentis ...