1. LA VIEILLE FILLE...


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... rasseoir sur sa chaise, me laissant sur ma faim. Mais pas le temps de me morfondre sur mon sort, qu’elle s’est saisi de ma main pour la guider jusqu’à l’intersection de ses cuisses - Tu as déjà touché le sexe d’une femme. Je ne parle pas de celui de ta copine. - Non madame. Mentais-je. - Alors je te permets de toucher la mienne. Sous mes doigts, j’ai senti que sa culotte était mouillée. - Je peux vous l’ôté ? - Je préfère le faire de moi-même si cela ne te dérange pas. Alors qu’elle faisait glissé son sous-vêtement le long de ses jambes, d’une main rendue maladroite par le désir, j’’ai empoigné le pot de confiture posé sur la table. J’y ai plongé mes doigts, ramenant une bonne quantité de confiture dont j‘ai badigeonné l‘intimité de la femme. Celle-ci eut un petit rire chatouillé : - Qu’est-ce que tu fais, jeune C… ? C’est froid ! Sans répondre, je me suis agenouillé entre ses cuisses et enfouis en geignant de volupté mes lèvres dans la forêt de poils flamboyants, barbouillés de confiture. Je l’ai entendu pousser un profond soupir. Je l’ai léché jusqu’au dernier gramme de confiture. Prenant l’initiative de lui enfoncer mon index dans l’anus. Un réflexe chez moi. Il était tellement mouillé que mon doigt s’est enfoncé sans difficulté. Elle a remué son bassin sous la langue qui la léchait, sur le doigt qui la branler. - Mets un deuxième doigt, jeune C… et pousse bien ! C’était bien ce que je m’attendais de faire. Vue que mon index flotté dans son orifice. - Tu es vraiment un ...
    ... gros cochon, jeune C… Fit-elle d’une voix étouffée. Tandis que j’enfonçais mon deuxième doigts dans son orifice anal. Et que je titillais son bouton du bout de la langue. Elle a ondulé, tout en poussant des gémissements de plus en plus haletants. De plus en plus bruyants. - Je sens que je vais… oui jouir ! Je jouis putain ! Je joui… oh ! Que c’est bon. Elle eut un dernier frisson, avant de se dégager. J’en es profité pour porter les doigts à mes narines. J’ai beaucoup aimé l’odeur poivrée qui s‘en dégagée. Pendant ce temps là, Marie-France s’est installée sur la table. Remontant ses genoux vers sa poitrine. Avec le beurre qui se trouvait pas loin d’elle, elle s’est enduis le trou du cul. Elle m‘a demandé que j‘en fasse de même avec ma queue. Ceci fait, elle a posé ses mollets en appui sur mes épaules, - Qu’attends-tu me la fourrer dans le cul, jeune C… D‘une main, elle m‘a guidé. J’ai poussé mon bassin en avant. Le petit bourrelet anal s’est effacé complètement, repoussé d’un coup dans l’anus par ma verge. J’ai poussé en donnant de petits coups de reins. Ma verge a disparu lentement dans le derrière de la vieille fille. J’ai marqué un temps d’arrêt. Je n’avais d’yeux que pour la couronne de chair autour de ma verge. J’ai entamé un va-et-vient prudent. D’abord à l’étroit, ma queue a coulissé bientôt plus aisément, au fur et à mesure que l’anus s’est relâché. J’ai donné par la suite des coups de reins en peu plus poussé pour aller au devant d‘elle. Accélérant même le rythme. Elle ...