1. Un coup rapide à Saint-Denis


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Anal Gay

    J’ai passé ma soirée à avoir envie de baiser et de jouir sans pouvoir me satisfaire. Je suis rentré d’un long week-end ou j’ai pensé au cul, à la baise tout le temps, sans pouvoir faire quoi que se soit. J’ai vraiment la queue pleine de foutre et qui ne demande qu’à cracher son jus. J’ai imaginé le dimanche soir que j’allais aller au bois de Boulogne pour draguer un travesti brésilien que j’aurais enculé doucement en lui branlant sa grosse queue et en lui caressant les seins. Rien de tout cela ne fut possible. Sur le chemin du retour dimanche soir, je me suis arrêté sur un parking d’autoroute, espérant une aventure rapide avec un homme bien monté qui m’aurait bien fait jouir avec sa grosse bite. Je lui aurais fait cracher son foutre sur mes seins en lui doigtant le cul et en me branlant. J’avais vraiment envie d’être une vraie salope en chaleur, prête à jouir comme une pute, par tous les moyens. Peine perdue, je suis resté avec mon envie et j’ai finalement réussi à m’endormir, en imaginant que je partouzais avec plusieurs hommes, femmes et travestis et qu’à la fin je recevais mon offrande de sperme sur la figure, les seins, le ventre et les fesses.C’est dans cet état que je me suis réveillé ce matin. Il me fallait absolument évacuer la tension ; je décidai donc d’aller vers midi au Châtelet, d’abord dans une cabine de cinéma porno avec vitres pour voir et être vu, puis, une fois les couilles pleines à déborder, au sous-sol d’une autre salle ou j’avais mes habitudes. ...
    ... J’espérais en fait que j’y retrouverais Claude, qui savait si bien me sucer et qui sera ravi de la provision de foutre que j’avais en réserve.En attendant, je me prépare et choisi ma tenue. Pour l’extérieur, puisque je dois aller travailler d’abord, c’est le costume cravate classique. En dessous, je choisis de mettre des bas noirs, un porte-jarretelles noir et un string de femme noir. J’adore le contact des bas sur mes jambes et du string sur mon sexe et mon cul. Cela m’excite très fort.Onze heures du matin arrive. Si je pars maintenant, je serai au Châtelet à onze heures trente. C’est la bonne heure pour choisir une cabine avec une vitre à droite et à gauche, ce que je fais. Je m’installe, retire costume, pantalon, chemise, ne gardant que mes dessous noirs. Pour l’instant, la cabine de gauche est vide et l’occupant de celle de droite n’a pas ouvert sa fenêtre. Comme d’habitude, je zappe rituellement et dans l’ordre sur les films montrant les travestis ou souvent je retrouve mon préféré, un brésilien superbe, déguisé en bonne sœur. Il a un cul rond et très ferme, des seins très beaux avec des tétons longs et tendus et surtout une bite d’au moins vingt centimètres qui lui sert indifféremment avec des partenaires de tout sexe. Je l’ai vu de multiples fois et je ne m’en lasse pas. Quand il jouit et lance ses flots de foutre blanc, j’imagine que je les reçois et je jouis aussi. Après les travestis, je zappe sur les films montrant des noirs montés comme des dieux et fourrant des chattes ...
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