Le magasin de chaussures
Datte: 08/08/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
chaussures,
massage,
Oral
hdanus,
init,
Dans ma jeunesse, j’ai été vendeur dans un magasin de chaussures, un été, pour payer mes vacances. Le début de cette histoire est véridique. Je ne vous dirai pas à quel moment, le réel est devenu phantasme, mais cette femme est restée à jamais gravée dans ma mémoire. ********** Marie-Chantal, flânant en fin d’une belle journée d’été, voit dans une vitrine, une jolie paire d’escarpins. Elle entre dans le magasin et s’étonne de le trouver vide. Elle appelle : — Ohé ! Y a-t-il quelqu’un ? Personne ne répond. Elle patiente quelque peu puis ne voyant âme qui vive, se décide à sortir du magasin. Au moment même où elle saisit la poignée de la porte, elle entend : — Que puis-je faire pour vous ? Se retournant, elle voit un homme encore jeune, un peu maladroit. — Je vous prie de m’excuser, mais je pensais que la propriétaire était dans la boutique, aussi, n’ayant rien entendu, suite à votre appel, je me suis dépêché de revenir de la réserve. Elle a dû aller faire une course.— Qui êtes-vous ? Je ne vous ai jamais vu dans ce magasin.— Je suis Alexandre, je suis étudiant à Lyon, j’ai trouvé ce job de vendeur pour les deux mois d’été, ce qui me paye mes vacances.— Quelles études poursuivez-vous ?— Je suis en dernière année de kinésithérapie.— Vous vous préparez à un beau métier, félicitations jeune homme. Alexandre, séduit par la prestance et l’élégance de Marie-Chantal, rougit du compliment, mais légèrement intimidé répète sa question : — Que puis-je faire pour vous ?— Vous avez ...
... raison. J’ai vu en vitrine ces magnifiques escarpins vernis noirs que je voudrais essayer.— Pouvez-vous me les montrer ? Marie-Chantal sort dans la rue pour monter à Alexandre, resté près de la vitrine, l’escarpin souhaité. Elle tend la main, mais Alexandre ne voit pas bien ce qu’elle lui montre, aussi se penche-t-elle en avant pour avancer sa main. Un instant, Alexandre aperçoit, dans le décolleté du chemisier entrebâillé, la rondeur de son sein. Voyant Marie-Chantal s’impatienter, il reporte son regard vers les chaussures en vitrine et aperçoit un escarpin verni noir et le saisit. Marie-Chantal étant revenue dans la boutique, il lui demande : — Quelle est votre pointure ?— Du 37, mais ça dépend des modèles.— Asseyez-vous, je reviens dans un instant. Alexandre se précipite dans la réserve à la recherche des escarpins. Heureusement, les modèles sont rangés par genre et par couleur, aussi ne tarde-t-il pas à trouver l’escarpin recherché. Malheureusement, il ne trouve qu’un 36 ½ et un 38. Il prend les 2 boites et revient dans la boutique. Marie-Chantal regarde les modèles sur les rayonnages, lui tournant le dos. Alexandre profite de cet instant pour la détailler. Sa veste courte ne cache aucunement la rondeur de ses fesses ni plates, ni rebondies, juste comme il les aime. La jupe semble fine et Alexandre se dit qu’en se déplaçant un peu, il pourra profiter du contre-jour pour deviner ses cuisses en ombre chinoise. Ne voyant rien, son regard descend le long de ses longues jambes. La ...