1. DCT, l'agence qui met en scène vos fantasmes (3)


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... devant elle, une jambe posée par terre, le genou plié de l’autre repose sur le banc. Je me place derrière elle, écarte ses fesses et dirige l’extrémité du gland artificiel vers ses reins, le frottant contre sa vulve offerte. Je m’assure de son humidité de mon index puis la pénètre sans plus tarder en claquant ses fesses. Je fais quelques va et vient un peu lents puis m’excite sur le morceau. Stop. Je ressors ma prothèse de la chatte bien ouverte et la présente maintenant devant sa bouche. Luna bave sur le gode en le prenant en bouche. La fellation dure quelques instants puis l’assistant me fais signe que c’est bon. On va pouvoir passer à la scène finale. Je retourne me placer face à l’arrière train de la nageuse. J’enduis mes doigts de salive et attaque son fondement de mon index ainsi lubrifié. Je poursuis mon manège par de petits mouvements de mes phalanges de manière à élargir l’orifice. Luna soulève ses reins pour faciliter mon ouvrage. Mon majeur rejoint maintenant son compagnon à l’intérieur du conduit étroit. L’anus de la sportive a du mal à encaisser cette nouvelle présence. Ce que voyant, l’assistant demande un arrêt de la prise, on fera un plan de coupe sur le visage de la fille. Nous ne bougeons pas pendant que, de son tube magique, il répand sur mes doigts toujours enfouis dans la cavité anale de quoi lubrifier une locomotive. C’est reparti et cela va ...
    ... nettement mieux, au point que j’arrive à introduire un troisième puis un quatrième doigt dans son évasure. J’exerce toujours une légère rotation de ma main suivie de plongées exploratrices dans l’antre béant. J’essaye de rentrer maintenant mon pouce, collé à ma paume, mais les cris de Luna mettent fin à ma tentative. Je m’en tiens donc là. Je ressors épisodiquement ma main pour juger du résultat. La rosette baille de plus en plus, elle est fin prête. Ne reste plus alors qu’à présenter le godemiché épais et à l’enfouir d’un seul coup de rein aux tréfonds de l’ancienne sportive qui glapit à n’en plus finir. Mon ventre vient toucher ses fesses, une bonne vingtaine de centimètres de bite caoutchouteuse remplit alors son conduit intime. Le reste est anecdotique, je la saisis par les cheveux et tire sa tête en arrière tout en la chevauchant. La fille pleure sans arrêt, dévorée par la douleur de ce pénis infâme qui la pistonne à loisir. Clarisse donne le clap de fin. Luna se défait de l’étreinte contre nature immédiatement et file sous la douche. Je ne la reverrai plus, pas plus que le reste de l’équipe. La productrice, satisfaite, nous remercie tous pour notre participation. L’histoire s’arrête là. Dans mon train pour Rennes, j’aurai tout loisir pour penser qu’il n’est pas donné à tout le monde de sauter une ancienne championne, qui plus est contre un cachet déraisonnable. 
«1234»