1. Récit d'une réception


    Datte: 08/10/2017, Catégories: fh, Masturbation Oral fdanus, fsodo,

    Traversant la salle en couleuvre, personne n’aurait pu esquiver son désir de suivre les principes d’une tenue somptueuse. Écharpe de vair et talon tourné à la perfection, la femme gantée vint s’échouer en délicatesse sur l’épaule du marquis. De l’autre, elle lui chatouilla les bourses. Le crâne du marquis se colora en cramoisi de honte devant tous les convives, et pourtant aucun ne réagit. Il était de mise, en ce temps-là, de flatter un homme important par le signe de sa virilité. Et ici la virilité faisait signe : sous le camocas exquis de son entrejambe ballotait une paire de boules aussi grosses que deux clémentines. Le marquis avait la peau des couilles d’un vermillon de soupe au potiron, souple et chaude. Sa verge devait alors mesurer deux pouces de large et huit de long. Un bel ouvrage en somme. La main de la femme en soupesa le tout, et sa propriétaire esquissa un demi-sourire appréciateur qu’elle se hâta de dissimuler derrière la dentelle de son éventail. — Il faut monter, dit-elle dans un chuchotement péremptoire. Il ne fallait pas lui laisser le choix. Le marquis déglutit, puis hésita. Parcourant du regard la salle, il croisa les regards patelins et les sourires métalliques des convives qui l’incitaient à obéir. — Il était temps, lui disait un ami, il faut que tu montes.— Entendu, bafouilla-t-il. Et il suivit la femme, serpentant avec elle dans la salle pour une dernière fois, empruntant l’escalier à sa suite. Ce ne fut que dans la pénombre des tentures qu’il osa ...
    ... : — Pourquoi ? Il eut en guise de réponse un "Hum ? " brusque. Il l’avait tirée de ses rêveries. — Pourquoi dois-je monter ? Elle s’arrêta au milieu des marches de l’escalier et se tourna vers lui. Après l’avoir scruté quelques instants, elle plaqua ses prunelles contre le mur et prononça d’une voix naturelle qui accompagna la fin de l’ascension. — Parce qu’après il sera trop tard. Ma peau va verdir, et pourrir… Tout sera vicié. C’est maintenant qu’il faut monter. Avant que je ne me faisande. Il ne trouva qu’à hocher la tête. — Marquis ? Nous sommes en haut. Il vous faut regarder à présent. Mes seins. Elle fit tomber à terre chacun de ses atours, et adopta la pose d’une pin-up en train de se trémousser. Docile, il lui vit les seins lourds, le galbe souligné. Sa peau dorée était uniforme et en son milieu s’étalaient deux superbes aréoles teintées d’un autre monde. Il voulut les sucer. — Non pas encore ! Le cul. Elle lui tourna le dos, jambes serrées, et lui planta sous le nez un des séants les plus affriolants qui eut pu naître sur cette terre. Joliment bombé, son cul était aussi parfaitement fendu en deux qu’une pèche bien mûre. Entre ses deux lobes pouvaient se deviner les formes contractées de son petit anus. Le marquis avait le regard rivé dessus. Dans cette nation, le cul faisait loi. — Maintenant… Faites acte de foi. Il n’attendit pas qu’elle se répète, et délaça sèchement ses braies qui glissèrent le long de ses jambes pantelantes. Son membre bandait rudement. Mais la ...
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