1. L'improbable


    Datte: 08/08/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail uniforme, taille, fdomine, facial, Oral québec, totalsexe,

    ... Elle prend ses lèvres pour lui donner un long baiser. Tandis qu’ils échangent salive et langue de bouche, il se laisse conquérir. C’est elle qui mène la bataille buccale, lui grogne son consentement. L’embrassade s’éternise jusqu’à ce que la crispation des mâchoires de chacun les oblige à cesser la joute. Il assaille le cou de la belle à coups de lèvres, de dents et de langue. Imperceptiblement, il la fait ramper sur lui. Il continue son manège jusqu’à ce que les tétins de la jeune fille soient juste devant sa bouche. Il suce, tète inlassablement. À quatre pattes au-dessus de lui, elle déplace son torse afin de lui présenter alternativement le droit et le gauche. Il l’incite toujours à poursuivre son avancée, sa langue mouille le nombril, le ventre plat et les premiers poils pubiens. Une dernière manœuvre, elle a les deux mains en appui sur le mur et est assise sur la bouche du mec qui exécute un léchage sans vergogne et provoque chez la blondinette des interjections sonores. Emportée par le débordement de son excitation, elle danse sur la figure de Marc. Son bassin s’agite dans tous les sens. Le summum atteint, elle bascule à la renverse cherchant à reprendre son souffle. Juste au-dessus de la toison d’or, il regarde la poitrine battre la mesure de sa respiration. Attiré par ce coquillage entrouvert, il tend la main, il est arrêté net lorsqu’elle déclare : — Pipi time. Aussitôt elle se relève d’un bond et court vers la salle de bain. Il n’a pu que constater son agilité de ...
    ... gazelle, lui aussi ressent le même besoin qui normalement est comblé au réveil, il la rejoint. Il entre et s’assoit sur le rebord du bain attendant qu’elle termine sa besogne. Non habituée à une situation semblable, elle rouspète contre sa présence. Sans un mot, il se lève et vient s’asseoir sur ses cuisses face à elle, lui plantant son pénis toujours en érection dans le nombril. Déconcertée, elle n’ose pas bouger. — Tu as trois secondes avant de te faire arroser, indique Marc.— T’es tombé sur la tête ! Saisissant le manche, elle le dirige vers le fond de la cuvette et le maintien ainsi. Tandis qu’il se vide, elle s’exclame. — C’est indécent, c’est même obscène, t’es encore à m’exciter, t’es diabolique ! Jamais elle n’aurait cru possible qu’elle fasse une chose semblable, avec lui tout est facile, si naturel. Elle ne doutera plus de son amie Marion, son amante, qui lui raconte parfois ses ébats avec Marc. Entre ses doigts, le membre viril s’amollit lentement au fur et à mesure de l’écoulement. Fascinée, elle contemple la métamorphose. Sans gêne, au point où elle en est, sur sa main elle enroule quelques tours de papier, imbibe la goutte finale et s’essuie l’entrecuisse. Il déclenche la chasse d’eau, se relève, la prend dans ses bras. À son contact, la tumescence du mâle renaît et n’échappe pas à l’attention de la belle. — Je vais m’occuper de ce bâton plus tard, j’ai faim et je dois faire provision d’énergie.— Déjà fatiguée, ironise Marc.— Nous verrons bien qui épuisera l’autre ...
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