1. L'amour du risque


    Datte: 08/08/2020, Catégories: f, h, plage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation ecriv_f,

    ... qu’imaginer la vision que j’offre alors, mais ce que je vois dans les yeux de mes spectateurs du jour est suffisamment éloquent. Que c’est bon ! Depuis très peu de temps, j’ai franchi un nouveau cap en marchant désormais totalement nue. Marcher nue, en pleine ville, à l’air libre donc, est une expérience fantastique qui me met dans des états proches de l’orgasme, sans besoin d’une stimulation manuelle quelconque !! Je me gare de nuit comme de jour dans un lieu discret, j’enlève mon manteau et je marche nue, déambulant tranquillement le plus loin possible de ma voiture, jusqu’à ce que mon instinct de survie me ramène dare-dare vers mon véhicule. La sensation de l’air sur ma peau dans une rue, un parking ou tout autre lieu urbain est incomparable : c’est simplement divin !! Mais parfois, ce plaisir se mérite car cette pratique n’est pas sans risque. Ainsi, la semaine dernière, j’étais partie en expédition nocturne pour me retrouver, peu avant minuit, dans un petit parc du centre ville. J’avais déposé mon manteau sur un banc et me promenais en rêvassant sur la lune. Sans y prendre garde, je m’éloignai d’une centaine de mètres pour m’asseoir sous la protection d’un magnifique saule pleureur. Sous l’excitation et, il faut le dire quand même, pour me réchauffer un peu, j’écartai les jambes et entrepris de me caresser langoureusement. Dans la pénombre de mon refuge végétal, je jouis brutalement. Je redescendais doucement lorsque j’entendis soudain un bruit de pas provenant de ...
    ... l’allée voisine. Mon sang se figea. J’écartai doucement les branches du saule… Personne en vue. Prenant mon courage à deux mains, je bondis telle une biche sur le gazon humide vers le banc et mon vêtement. À mi-chemin, je vis sur ma droite un homme arrivant en petites foulées, profitant de la nuit claire pour un footing nocturne. Me découvrant, il se figea incrédule : j’imagine que la vision d’une femme nue, courant dans l’herbe sous la lumière blafarde de la pleine lune n’était pas ce qu’il attendait dans ce parc tranquille. J’attrapai à la volée mon manteau et me ruai vers ma voiture. L’homme ne me suivit pas, trop occupé probablement à vérifier sa santé mentale ! Je me jetai à l’abri de mon véhicule, verrouillai les portières et démarrai, toujours nue comme un ver. Après quelques centaines de mètres, je vérifiai apeurée que je n’étais pas suivie et me garai le long du trottoir pour remettre mon manteau. Ouf ! En arrivant chez moi, mon cœur battait encore la chamade. C’était la première fois que je me faisais prendre. Une fois à l’abri, en revanche, j’ai joui comme une folle, enchaînant orgasme sur orgasme pendant près de trois heures. J’imaginais ce que l’homme avait vu, ce qu’il avait pensé et peut-être qu’il était lui-même en train de se masturber en se remémorant la scène. Cela me laissa complètement épuisée et vidée au petit matin. Je suis fermement décidée à recommencer dès que possible, mais je dois d’abord trouver un nouvel endroit un peu plus sécurisant où je puisse ...