1. Monsieur P. (la suite)


    Datte: 09/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore,

    Monsieur P. (La suite)Il m'avait demandé de le laisser se déshabiller seul. Je lui avais respecté et suis sortie vérifier que tout allait bien du côté de ma fille. Elle dormait comme un ange. A ce moment, je me suis dite qu'il valait mieux d’emmener le couffin dans la chambre, au cas où elle se réveillerait. En rentrant de nouveau dans la chambre, je le vus, assis sur le lit, complètement nu. Malgré son imposante carcasse, il n'osait à peine me regarder, gêné par son mal-être corporel. Sans rien dire, j'avais déposé le berceau près du radiateur et j'avais vu tous ses habits soigneusement pliés sur une de deux chaises. Je m'étais approchée de lui :Comment vous sentez-vous, Gilles ?A vrai dire... Nerveux, comme un adolescent...N'ailliez pas crainte ; tout va très bien se passer.J'avais proféré ces mots tout en lui caressant la tète, glissant ma main sur son visage, passant mes doigts sur ses lèvres, à peine visibles sous la touffe de poils de sa moustache et de sa barbe hirsute. Il entrouvrit sa bouche et j'y laissai entrer mon index, qu'il se mit 'a siroter, ses mains posées, immobiles, sur ses cuisses. Il était très velu. Dès ma position, je pouvais voir ses épaules, le haut de son dos, sa poitrine, son ventre, le tout recouvert d'une fine couche de gazon grisonnant. Un vrai primate, un gorille au dos argenté :Combien mesurez-vous ?Presque deux mètres, me dit-il, plus honteux que fier.Et votre poids ?Sandra... Euh, Madame... Ne vous moquiez pas de moi, je vous en prie.Vous ...
    ... pouvez m'appeler Sandra... Et je suis très loin de me moquer de vous, je vous assure.Cent trente kilos... Mais, je n'ai pas toujours été aussi gros.Une image extrêmement morbide s'était mise à trottiner dans ma tête. Je me suis vue, les jambes écartées, écrasée par cet homme. Du coup, je me suis rendu compte que je n'avais, même pas, son pénis. Je m’étais accroupie, lentement, en caressant de la pomme de mes mains tout son torse et son gros ventre. Je posai mes mains sur les siennes, drôlement petites par rapport à son envergure :Vous ne bandez pas, Gilles... Je ne vous plais pas ?Son sexe était minuscule. Complètement camouflé dans la masse de poils pubiens, un petit bout de peau mate reposait sur ses testicules. Je ne lui avait pas touché. Je m'étais incorporée et séparée quelques centimètres de lui.Vous me rendez dingue, Sandra... Seulement... Seulement... ça fait tellement de temps.J'enlevai mon chemisier et ôtai ma culotte. Quand j'allais la laisser par terre, Monsieur P. me demanda s'il pouvait la sentir. Je la lui donnai. Il l'attrapa et la porta à son nez :Dieux du ciel ! Que ça sent bon !Arrêtez... elle est très sale...C'est le parfum d'Aphrodite, que je sens là !Une Aphrodite un peu maigrichonne, vous ne trouvez pas ?Au contraire ; vous êtes parfaite. Je me rapprochai, de nouveau, de lui et en prenant un de mes seins dans mes mains, je lui approchai de sa bouche :Tétez-moi, Gilles... J'en ai très envie... Mais ne les mordais pas, ils sont très sensibles et assez ...
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