Géraldine tome 2-Chapitre 1
Datte: 09/10/2017,
Catégories:
Anal
BDSM / Fétichisme
Transexuels
... barre de suspension. Son corps étaient complètement arque-bouté par l'étirement de ses bras emprisonnées dans un armbinder, lui même était relié à la barre. Un bâillon entonnoir lui maintenait sa bouche ouverte pour diverses ingurgitations, tandis qu’un sac de solution pour le lavement se déversait allègrement dans son cul , il était au moins deux fois plus gros que ceux qu’avait utiliser Maîtresse Sandra sur Géraldine. Son clito était libre, mais une canule avait été introduite à l'intérieur de l'urètre, empêchant ainsi, toute évacuation de quelque liquide que ce soit. L'infirmière revenait en portant un lourd bocal dans ses bras gainés de longs gants en latex.“ - Pour que sa bouche soit propre. Elle a tendance à dire des gros mots. ”Dit l'infirmière à Maîtresse Sandra, en montrant en souriant le contenu du bocal à Maîtresse Sandra , sans prêter la moindre attention à Géraldine.Elle expliqua que c'était une solution moussante. Totalement inoffensive en cas d’ingestion, mais horrible à avoir en bouche. Quand la Sissy suspendue aperçue le bocal, elle s’agita encore plus dans ses entraves, dans d'inutiles et intenses gémissements de négation.“ - Je vous laisse, Madame. Elle a l’air de s'impatienter. A plus tard, petite Sissy !“Ironisa l'infirmière, se dirigeant vers la pauvre soumise suppliante, avec un dernier regard pour Géraldine, qu'elle se doutait être une nouvelle élève.“ - Je sens que tu vas te plaire ici, ma petite Géraldine. ”Dit Maîtresse Sandra, souriante en se ...
... tournant vers sa soumise, tandis qu'elle regardait l’infirmière commencer à remplir l'entonnoir du bâillon.La French maid reprit son chemin, suivi de Maîtresse Sandra tirant une petite Géraldine qui se posait de plus en plus de question.La dernière chambre portait la plaque « EPILATION »Elle était occupée par un jeune homme, où du moins encore pour l’instant. Il était écartelé par ses quatre membres à quelques centimètres du sol, tandis que trois infirmières s’occupaient de lui, en s’appliquant de lui faire disparaître l’intégralité de sa pilosité à grands coups de cire chaude et de larges bandes de papier.De lourdes larmes coulaient le long de ses joues, rejoignant la bave qui s'écoulait allégrement de son bâillon dentaire écarteur, où était étirée sa langue pendante par l'aide deux pinces japonaises.En plus de celles de sa langue, les infirmières en avaient accroché tout un stock.Au moins une trentaine de pinces ornaient son corps, de ses oreilles à ses tétons, en passant par ses dessous de bras fraîchement épilés, ainsi que son petit matériel, qu’une infirmière étirait justement de badigeonner de cire chaude. Une des infirmières vint à la rencontre de Maîtresse Sandra, toisant Géraldine du regard.“ - Je vois qu’il y a tout un travail à faire. ”Ironisa Maîtresse Sandra, en s’adressant à l'infirmière, se rappelant l’après-midi d’épilation de Géraldine.“ - Plus qu’un travail ! C’est un petit voyou qui a été pris en flagrant délitde vol des vêtements et dessous féminins, dans la ...