1. Récit d'une de mes soumises


    Datte: 10/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... encore plus envie de lui. Et je veux qu’il me supplie de le finir.Alors, je retourne entre ses cuisses et recommence à le sucer, encore et toujours. Quand je le sens prêt à jouir, je m’arrête, me repose quelques minutes, la tête sur son ventre. Je lui griffe délicatement les cuisses de mes longs ongles, lui malaxe les couilles avec douceur. Je lui crache sur le gland et le branle à gestes lents, puis je le pompe férocement, encore et toujours.Au bout d’une heure de ce petit jeu, je sens mes lèvres qui se crevassent, ma nuque qui devient douloureuse, mais surtout, je le sens bander moins fort. Il est trop excité, et à force de repousser l’échéance, je crains que son sexe ne perde de sa sensibilité. Il lui faut un coup de fouet.Je le saisis par les hanches, l’oblige à relever le bassin, les jambes à demi relevées. Puis je lui agrippe la bite d’une main pendant que je le lèche en dessous des couilles. Je descends de plus en plus et finis par lui laper le cul. Il remue alors en tous sens, mais je tiens bon et je lui force l’anus avec le bout de ma langue.Je ne sais pas s’il tente de se dérober, ou s’il implore au contraire que j’accélère le mouvement. Mais il n’a pas à décider. Pas ce soir.Il y a dix jours, il a profité qu’il me baisait en levrette pour me sodomiser. Je n’ai pas eu le temps de protester. Il ne m’a rien demandé, m’a agrippé la nuque, m’a craché entre les fesses, m’a enculée.Alors à mon tour, sans crier gare, je lui glisse un doigt dans le cul. Il s’agite, ...
    ... se contracte et tente de m’échapper, mais plus il bouge, plus mon majeur s’enfonce. Finalement, il semble accepter mes choix, cesse ses ruades, et tandis que mon doigt va et vient dans son anus, je lui lèche les couilles en le branlant frénétiquement.Je sens qu’il est temps d’en finir.Je lui enlève le bandeau des yeux et lui ôte les bas qui lui entravent les poignets. Il est ruisselant de sueur. Il a les mâchoires crispées et les yeux exorbités. Sitôt le deuxième bas enlevé, je retourne au bout du lit et me mets à quatre pattes. Je m’enfouis le visage dans les bras et me cambre au maximum, ouverte, offerte, prête à me faire prendre en levrette ou même, si telle est son envie, à me laisser enculer à nouveau.Mais contre toute attente, il saute du lit, le contourne, m’agrippe par les cheveux et me relève la tête brutalement. Surprise, je pousse un cri de douleur, mais il s’en fout. Il se tient la queue à pleine main. Elle est énorme, congestionnée. Il me fouette le visage avec, me l’écrase contre le nez, contre les yeux. Il se branle comme un furieux en me giflant avec son sexe. Je mouille comme une folle et, la bouche avide, tente de le lui avaler.Il me saisit alors la tête entre ses deux mains puissantes, me l’immobilise et, dans un grand coup de reins, me fourre sa bite jusqu’au fond de la gorge. Je réprime un spasme et comprends où il veut en venir. Pendant plus d’une heure, je l’ai sucé, repoussant un nombre incalculable de fois le moment de sa jouissance, sourde à ses ...