1. L'organisatrice partie 2


    Datte: 09/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore, Sexe Interracial,

    ... style BCBG, blonde, les cheveux coupés en carré court, avec un corps encore mince. Elle portait ce jour-là un tailleur jupe gris, avec un chemisier crème et des bas noirs. Le chemisier était boutonné bien haut, mais était tendu à l'extrême par sa grosse poitrine. Cette salope avait plus des seins de star du X que de banquière.Au bout de quelques minutes, Brigitte, en me voyant prendre la direction du nord de Paris, me demanda, surprise, où nous nous rendions. Je lui répondis que sa fille se trouvait apparemment près d'une cité sensible de très mauvaise réputation, dans une ville de la banlieue nord. Elle fût extrêmement surprise, se demandant ce que sa fille pouvait bien faire dans cet endroit. Je senti dans sa voix une pointe d'inquiétude, mêlée à un peu de gêne. Comment expliquer que sa chère petite Elodie, qu'elle imaginait être un ange de vertu, se retrouve dans cette cité.Nous arrivâmes enfin aux abords de la cité. Suivant le scénario à la lettre, je me dirigeais vers un parking en sous-sol, en expliquant à ma victime que c'était là que sa fille avait garé son scooter avant que celui-ci ne tombe en panne. Une fois garée, nous descendîmes de voiture et nous nous dirigeâmes vers ce qui semblait être des box pour motos. Bien qu'elle essayât de faire bonne figure, je sentais bien que Brigitte n'était pas rassurée par l'endroit où nous nous trouvions. Le parking était désert. Seules quelques voitures étaient garées là. Après quelques mètres, nous aperçûmes le scooter ...
    ... d'Elodie. Mais aucune trace de sa fille. Nous continuâmes notre marche vers le scooter. En approchant, nous commençâmes à entendre des bruits et des voix provenant de derrière la porte métallique de ce qui devait être un local poubelles. Brigitte me regarda, interloquée. Je jouais mon rôle et paru à la fois surprise et inquiète. Je lui dis que je ne comprenais pas ce qui se passait et que tout cela ne me disait rien qui vaille. Malgré tout, je lui dis qu'il fallait tirer cela au clair, récupérer sa fille au plus vite, et partir rapidement de cet endroit. Une fois arrivées devant le local poubelles, nous entendîmes des râles de plaisir poussés par une jeune fille. Celle-ci prenait apparemment son pied. Elle encourageait joyeusement ses partenaires à grands renforts de "oh oui, défoncez moi à fond", de "Prenez-moi comme une pute". Les hommes n'étaient pas en reste et l'insultaient copieusement, la traitant de salope, de sale pute, de connasse de blanche. Les bruits émanants de derrière la porte étaient peut être encore plus parlant que les paroles. On entendait clairement les claquements des corps contre les fesses, les bruits de succion, et même les gifles. Je regardais alors Brigitte. Celle-ci était décomposée. Elle avait évidemment reconnu le son de la voix de sa fille chérie. Elle était figée sur place, n'ayant plus la force de réagir. J'ouvris alors la porte du local, et au supplice auditif s'ajouta la cruelle confirmation visuelle. Le choc fut terrible. Elodie se trouvait au ...
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