La Bretagne, en septembre, est-elle triste ?
Datte: 12/08/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
amourcach,
... qu’un grand silence s’installe entre nous. Elle est songeuse un long moment puis me regarde en me montrant son verre vide et me dit : — Ça va me donner du courage.— Pourquoi ? Elle me fixe avec ses yeux intimidants tandis qu’elle pose doucement son verre sur la table, mon cœur bat la chamade et j’ai pratiquement le souffle court. Elle se penche vers moi, approche ses lèvres vers les miennes et me dépose un léger baiser. Je ne bouge presque pas. — Maintenant je te choque ?— Mais non voyons, à moi aussi il m’a fallu du courage pour faire ça avant !— Alors, tu m’embrasses ? Je la prends dans mes bras et l’enlace effrontément, elle ouvre la bouche et je sens sa langue sur la mienne. Je glisse une main le long de sa cuisse sous la robe, mais elle est tellement étroite qu’elle se bloque rapidement. Elle me repousse doucement, se lève, retire son gilet, se retourne et me fait signe d’ouvrir la fermeture éclair dans son dos. Je m’approche, me colle derrière elle, passe une main sur son ventre tandis qu’avec l’autre je fais glisser la fine fermeture éclair. La robe glisse sur le parquet révélant son corps longiligne et des sous-vêtements d’un blanc immaculé contrastant sur sa peau bronzée. Je me colle contre elle, encastrant ses fesses contre mon bas-ventre, je l’embrasse dans le cou tandis que je caresse son corps. Sa peau sent un parfum élégant et capiteux. Elle attrape ma main et la colle contre son pubis, je sens une légère toison et la découpe de son sexe sous le fin tissu en ...
... dentelle. Je glisse ma main dans son slip, sous mes caresses son corps se cabre et tremble contre ma poitrine. Elle se dégage en se retournant face à moi, entreprend de retirer son soutien-gorge, fait glisser sa petite culotte le long de ses cuisses fuselées, s’assoit sur le divan, retire ses chaussures et me fait signe de la rejoindre. Je retire mes vêtements, et m’allonge contre elle, nous nous enlaçons en nous couvrant de baisers, elle attrape mon sexe et le frotte conte le sien. Je sens une humidité accueillante, je me soulève un peu pendant qu’elle s’allonge confortablement sur le dos en écartant largement ses cuisses. Elle fixe mon regard puis ferme les yeux tandis que je la pénètre doucement. Ses mains se crispent dans mon dos et sur mes fesses pour cadencer mes va-et-vient. — Oh mon Dieu, mon Dieu ! Doucement, Luc, doucement, prends ton temps ! Nos bouches se collent l’une contre l’autre entre deux gémissements, jusqu’à ce qu’une explosion de plaisir nous secoue et nous laisse sans force. *** Aujourd’hui c’est dimanche, nous nous promenons dans la lande de la pointe Saint-Christophe, je regarde Capucine courir devant nous dans les fougères tandis que Marie marche à mes côtés. De temps en temps, elle se retourne vers moi pour me regarder ou rire à mes plaisanteries. Un sentiment de plénitude se propage en moi. Est-ce normal de jouer à la petite famille idéale ? Ce n’est pas la mienne. — Tu dois croire que je suis une femme facile! Coucher avec un garçon plus jeune que moi ...