Voyeur de naissance (2)
Datte: 13/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
La nuit de travail fut longue, je savais qu’elle était là, derrière cette cloison, peut-être à dormir, ou lire, car la cuisine était juxtaposée à mon bureau. Et dans le courant de ma nuit, des bruits de pas, et de vaisselle se faisaient entendre. 6 heures, la relève étant faite, je ne mis pas longtemps à prendre la direction de la maison de campagne, à 6 km de là. Une tension se faisait sentir dans tout mon corps, tremblant à imaginer ce que j’allais trouver. Vous me direz, il est possible que tout ceci ne soit que fantasme, peut-être qu’elle avait simplement oublié de faire une chose, avant de partir. Mais, je ne sais pas pourquoi, une intuition, celle qui ne trompe pas, ou rarement. Me voici arriver, à peine descendu de voiture que je me dépêchais d’ouvrir la porte, pour me rendre dans la pièce, qui servait de salon, cuisine. Mais tout de suite, mon regard tomba sur ce que j’espérais jusqu’à cet instant. Elle avait déposé une de ses culottes noire, en coton sur l’accoudoir du canapé en cuir marron. Sans attendre plus, je vins me servir, humant, son parfum, jusqu’à détailler l’entre jambe, souillée d’une auréole blanchâtre, odorante de sa crème, dont je m’enivrais, à ne pouvoir dormir. Cela, confirmer bien ma première impression, elle était venue durant ma sieste, me surprendre avec mon doudou, sur l’oreiller. Je gardais son précieux cadeau, au plus près de moi, et tout cela, sans que mon épouse y tombe dessus, durant quelques jours. Ma série de nuit terminée, je lui ...
... trouvais une cachette. Puis, quelques semaines passèrent, entre temps, j’eus l’occasion de la remercier discrètement, au coin de l’oreille. Quelques jours plus tard, c’était mon anniversaire, le soir même, mes beaux-parents vinrent boire l’apéro. En partant, ma belle-mère me dit "Tu es de nuit, prochainement ??" "Oui, demain" "Je te laisserai un cadeau, qui je suis sure, te fera plaisir" Je ne répondis pas, mais, nous échangeâmes un long regard, accompagné d’un sourire. Et déjà, mon cœur battait la chamade. J’avais une idée sur ce qu’il pouvait être. Laquelle allait-elle m’offrir ? Une de ses blanches, en sachant qu’elle utilisait que du coton. Le suspense fut long, et court la fois. Il faut dire que dans mon jeu, car à présent, c’était un jeu avec une grosse poignée de complicité. Lorsque je savais qu’elle allait à la maison de campagne, alors que mon beau-père travaillait, et que je venais de passer la nuit. Je choisissais parmi ses robes amples et courtes, ou ses mini jupes en jean, une tenue, accompagnée de la petite culotte de service. Tout en espérant qu’elle m’en ferait profiter un jour, et très souvent, dans ce cas-là je faisais le choix de la petite culotte, ou slip blanc, plus que le noire, le rouge ou le chair. Bien sûr, arriva le jour où je finissais ma nuit, et d’autrement plus que les autres fois, je m’empressais d’arriver. J’ouvris la porte, et en rentrant dans le salon, sur la table était déposée, enroulée dans du papier alu, avec un petit mot, que je lis. "Joyeuse ...