1. Famille, je vous aime 1 (Vu sur le net)


    Datte: 09/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Juliette et Pierre habitaient depuis toujours une grande bâtisse entourée d'un grand parc. Elle lui venait de son père qui lui même la tenait de ses ancêtres. Il était maintenant à la retraite. Juliette quant à elle n'avait jamais travaillé. Ils avaient eu deux enfants: Éric et Annie.Les vacances de printemps étaient déjà là et ils attendaient la venue de leurs enfants et petits enfants pour le week-end. En effet c'était leur anniversaire de mariage, quarante cinq ans déjà, et il avait été décidé que tout le monde se retrouverait, dans la demeure familiale pour le fêter.Leur fils Éric, sa femme Sylvie et leur fille Béatrice, qui habitaient Paris, étaient arrivés en début d'après-midi. Quant à leur fils Éric, étudiant à Montpellier, il était arrivé en fin d'après-midi. Il était accompagné de son amie Claude. Il avait demandé à ses grands parents si elle pouvait l'accompagner ce qu'ils avaient accepté volontiers. Ils étaient déjà tous à table pour le dîner lorsqu'Annie, leur fille aînée, arriva à son tour. Elle s'excusa de son retard, fit le tour de la table pour embrasser tout le monde et s'assit en bout de table.Onze heures venaient de sonner. La soirée était bien avancée, Pierre et Juliette, puis tout le monde regagna sa chambre.Celle d'Éric et Sylvie était située au premier étage, séparée de celle des grands parents par une pièce qui avait été transformée en deux cabinets de toilette. La pièce spacieuse meublée avec soin donnait sur le jardin.Le lit était large, Éric était ...
    ... déjà couché. Son épouse s'attardait dans la salle de bain et il la regardait par la porte restée ouverte, se préparer pour la nuit.C'était une femme à la quarantaine épanouie. Elle était belle et il émanait de son corps une sensualité saisissante. De dos, les cheveux mi-longs auburn tombaient sur sa nuque découvrant, lorsqu'elle relevait les bras, un cou gracile et long, ceint d'un ruban en satin noir comme un collier de chien. La chute de ses reins, cambrée, tombait sur des fesses pleines et amples. Le porte jarretelle et les bas noirs qui gainaient ses jambes longues révélaient la blancheur de la peau. Elle se retourna, légèrement penchée. Ses seins emplissaient un soutien gorge qui les soutenait et les mettait en valeur, tels deux fruits offerts. Les pointes brunes et érigées des mamelons affleuraient la dentelle prêtes à être cueillie. Son ventre à peine marqué, encadré par le porte jarretelle se fermait sur le triangle de son sexe entièrement rasé accentuant le bombé des deux grandes lèvres. Ses longues jambes étaient les colonnes d'un temple qui menaient au sanctuaire! C'était à chaque fois le même plaisir renouvelé que de la regarder se déshabiller.Maintenant Sylvie était assise sur le rebord de la baignoire Elle ôtait délicatement un bas, jambe gauche relevée, fesses légèrement écrasées,. Les lèvres charnues de son sexe épilé étaient coiffées par le renflement du capuchon clitoridien. Éric avait toujours était émerveillé par sa grosseur. Gonflé et excité, lorsqu'il le ...
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