1. La panne


    Datte: 15/08/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe

    Petite histoire courte de 2006 trouvée dans mes archives : auteur inconnu.Avertissement : Ce récit raconte la soumission sexuelle d’une jeune mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.Je m’appelle Thierry. Avec ma femme Véronique et notre bébé de 8 mois, nous traversions la France au mois de décembre et nous sommes tombés en panne de voiture dans une région que je ne nommerai pas.Nous étions dans la France profonde et il était 21 heures : Impossible de trouver quelque chose d’ouvert.Avec la neige et le froid, nous fumes heureux de voir des lumières dans une ferme toute proche. Un homme d’une cinquantaine d’année vint nous ouvrir la porte. il nous fit entrer et on se retrouva dans une grande pièce où 3 autres hommes jouaient aux cartes en buvant. Le propriétaire était grand et avait l’air autoritaire, les 3 autres étaient aussi de solides gaillards : la quarantaine et visiblement un peu éméchés.Le maître des lieux regarda bizarrement Véronique quand elle retira son manteau. Il faut dire que ma femme, qui vient d’accoucher, a une poitrine proéminente qui lui permet d’allaiter notre fils. Il se présenta ainsi que ses amis :- Je m’appelle Victor, et voici René, Germain et Robert.Après nous être présentés à notre tour, Il nous fit asseoir au bout de la table pour nous servir quelque chose de chaud. Il mit les couverts et alla dans la cuisine chercher à manger. Je suis allé voir s’il voulait de l’aide et au moment où j’allais entrer dans la ...
    ... cuisine, je le vis verser une poudre dans une assiette dont le bord était ébréché. Revenu dans la pièce principale, l’homme apporta les 2 assiettes et posa devant moi celle dont le bord était légèrement cassé. Le vin coula à flot pendant le repas et je m’arrangeai pour que l’on ne me voit pas verser doucement ma soupe par terre où le chien de la maison fut trop content d’avoir quelque chose à lécher...Durant le repas, les paysans discutèrent avec ma femme et la regardèrent comme s’ils n’avaient pas vus de femme depuis longtemps... Le vin aidant, Véronique avait les joues roses et je vis bien qu’elle n’était pas dans son état normal.Pour ma part, je feignis d’être très fatigué et je me mis à bailler. Je fis semblant de tituber. Notre hôte me dit de le suivre jusqu’à la chambre qu’il nous prêtait à l’étage. Véro, quant à elle, devait changer le bébé avant de me rejoindre.Après avoir remercié le propriétaire de la ferme, je fis semblant de m’écrouler sur le lit et quand l’homme fut reparti, je me relevai. Et, en chaussettes, je redescendis l’escalier.Véronique changeait notre fils sur la table et les hommes étaient autour d’elle. Notre hôte s’approcha et lui dit :- Et bien ma p’tite dame, vous êtes bien jolie... Avec des seins pareils, votre fils doit apprécier de vous téter, non ?... Je pourrais y goûter moi aussi ?... Allez... Faites nous voir...Alors que les paysans commencèrent à laisser leurs mains se balader, Véronique cria pour m’appeler. Mais Victor ricana en lui disant :- ...
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