1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (37)


    Datte: 15/08/2020, Catégories: Transexuels

    J’arrive dans ma suite et mes quatre chattes (pas l’animal) sont sous la douche. Je les espionne. Quelle personne normalement constituée, homme ou femme, ne serait pas en émoi devant un tel tableau. Quelle femme ne se toucherai pas son clito, quel homme ne se branlerai pas devant l’œuvre qui s’offre à mon regard, digne des tableaux d’Antonio Allégri. Vais-je les rejoindre. Non, j’ai deux autres projets en tête, les deux sœurs de Déb… Je m’éclipse discrètement et part à la recherche d’Anna et de Julia. Je me mets en mode recherche. Ne croyez pas que ce fût facile de les débusquées, mais elles ne sont dans la cuisine. Je vais plage avant. Il y a toujours Émile et Maria. Je descends dans les bas-fonds du navire et les trouves en train de se chamailler dans la blanchisserie. Elles sont faites, pas d’échappatoire possible. Par sécurité, je verrouille la porte de la coursive et j’attends. J’écoute la raison de leur dispute, qui n’en est pas une. Elle se partage mes draps, les coussins des transats. — Putain qu’elle sent bon cette Vanessa… Un régal. — Ouiiii, tu as raisons, sniffes moi ça, c’est de ce matin… — Oh, j’ai envie qu’elle me remplisse de son jus… Qu’elle me prenne, là, maintenant… — Ouiii. T’as vu comment elle a défoncé Axiana, c’est pas humain. — Non, c’est vrai et vu l’état dans lequel était la plage avant ce matin, elle leur a tout donné. — Allez, les patrons doivent avoir fini leur petit déjeuner. Me voilà face à elles. Elles ont stoppé leur course et me regarde ...
    ... apeurer. — Vous me voulez, dis-je calment, vous m’avez… La plus téméraire, Julia, s’avance et me demande : — C’est vrai, tu es à nous. On peut faire tout ce que l’on veut?? Je cligne des yeux. La curée est sonnée. Elles se jettent sur moi telle des affamées. Elles me lèchent de partout. Les seins, qu’elles triturent. Les aisselles, qu’elles lèchent avec avidité. Mes jambes, ma bouche mes yeux, ma bite, mes couilles et mon cul y passe aussi. Moi, je jouis sans discontinuer. Anna remarque : — Putain, elle jouit vraiment comme nous?? — Oui, lui répond sa sœur, trop bon, elle est vraiment trop belle. On va lui faire sa fête à la Déesse de la procréation… Vous comprenez pourquoi j’ai attaché les filles la veille au soir. Pour pouvoir rester maître de mon corps. Là, je m’abandonne totalement. J’en ai envie, tout simplement. Elles sont toutes les deux sur moi car je me suis allongée sur les draps sales, emplis d’odeurs de sexe. Elles frottent leur chatte gluante sur tout mon corps. Tour à tour, c’est sur ma bouche qu’elles viennent se frotter. Ma queue est prise d’assaut. Elles s’empalent chacune leur tour dessus. Je suis dans un état de béatitude, les bras en croix, compas ouvert au maximum. La seule chose de cohérent que j’arrive à dire est : — Je suis à vous, mes chéries, faites nous jouir… Elles redoublent d’effort, s’étonnant que je mouille comme une gonzesse. Mon corps se raidit comme une crampe généralisée et j’expulse une quantité de foutre, qu’elles se partagent. — Hummm… Très ...
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