Sodomie en sous-bois
Datte: 16/08/2020,
Catégories:
hh,
hbi,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
préservati,
hdanus,
hsodo,
init,
Gay
... dans mon cul, mais une bonne grosse bite de chrétien. Après quelques secondes d’hésitation : — Je veux bien essayer, mais c’est la première fois. Vas-y doucement. Se penchant sur son short à terre, il extrait d’une poche un préservatif dans son emballage. En quelques gestes précis, il sortit le condom de son emballage et l’enfila sur sa verge tendue. Rapidement, je me trouvai courbé en avant, prenant appui sur un tronc d’arbre d’une main, les jambes écartées et l’autre main s’activant sur ma bite qui, malgré mon appréhension, était toujours aussi dure et raide. Maintenant, ça y était : je sentais la pine qui commençait à forcer mon anus. Je sentais mon anus s’ouvrir au passage de l’intrus qui progressait millimètre par millimètre. J’étais surpris de ne ressentir aucune douleur, juste la sensation de mon cul qui s’ouvrait. — Arrête ! Tu me fais mal ! Brusquement, la douleur, la déchirure fut là. Obéissant à mon injonction, il arrêta sa progression ; il recula même quelque peu et attendit quelques secondes que la douleur disparaisse. Une seconde tentative n’eut pas plus de succès. Au troisième essai, son gland réussit à passer l’anneau du sphincter, non sans m’avoir tiré quelques gémissements de douleur. Le reste a suivi dans une lente mais implacable progression, jusqu’à ce que je sente son pubis s’écraser sur mes fesses. Sa main chercha ma bite qui avait ramolli, et avant de commencer à s’agiter dans mon fondement, il s’employa par un vigoureux branle à lui rendre sa ...
... raideur précédente. Progressivement, je m’habituais à cette présence qui m’ouvrait le cul ; et ma bite reprenait des proportions honorables sous la caresse vigoureuse de mon enculeur. Lentement, il commença à bouger ; je sentais son dard se retirer presque complètement de mon anus, puis tout aussi lentement le réinvestir complètement tandis que sa main continuait à me masturber. La douleur avait disparu, laissant place à une impression confuse mêlant la réalité d’un corps étranger qui occupait mon intestin et me donnait envie de déféquer, et un sentiment jouissif de soumission, d’être livré totalement à cet inconnu. Progressivement, la queue qui me possédait me pistonna plus rapidement ; je sentais le plaisir monter graduellement en moi. J’étais loin de penser avoir autant de plaisir à me faire enculer : rien à voir avec le gode que ma femme m’enfonçait dans le fion quand elle avait décidé de me faire plaisir. J’encourageai mon sodomiseur à aller plus vite et plus fort ; il lâcha ma bite qui, raide comme elle l’était, n’avait plus besoin de stimulant. S’accrochant des deux mains à mes hanches, il me bourrait virilement le cul. Pendant un temps qui me sembla trop court, sa bite allait et venait énergiquement dans mon cul. Il s’immobilisa brusquement, son pubis collé à mes fesses ; avec un long râle, il se soulagea, remplissant le condom du fruit de son plaisir. Il restait toujours fiché en moi, reprenant son souffle ; j’étais un peu frustré que cela se terminât si vite : j’étais à ...