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Une soirée entre amis – Une infirmière en Beauce 12
Datte: 27/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... jarretelles et la peau nue au-dessus des bas, bien que la culotte noire et la dentelle du porte-jarretelles se confondent dans l’ombre de la jupe. C’est hautement érotique et heureusement que Justine est assise à côté de Valérie qui ne s’aperçoit de rien. D’ailleurs Justine, en jeune femme moderne est aussi agréable à regarder. Sa forte poitrine se distingue bien au travers du corsage transparent qui laisse apercevoir le soutien-gorge blanc qu’elle porte dessous. Sa jupe, plus courte que celle de Valérie, ne cache pas ses jambes gainées de soie blanche dont la lisière des Dim up découvre une chair très pâle jusqu’au string de satin blanc qui laisse s’échapper quelques poils follets d’un roux prononcé. Les yeux des deux hommes ne peuvent se détacher de ce que leur offre leur concubine dans une espèce de naïveté de bon aloi ; chacun contemplant bien entendu les cuisses découvertes de la femme de l’autre. Les deux femmes tout à leur conversation ne se rendent pas compte de l’attitude des hommes qui matent leurs dessous, où alors elles cachent bien leur jeu. D’ailleurs Hervé et Henri se sont souri en se rendant compte qu’ils regardaient la même chose. Pourtant il n’osent en faire plus, même s’ils en ont chacun une forte envie. Hervé est tout de même très heureux que son épouse veuille bien s’habiller comme il le souhaite depuis si longtemps. Il espère qu’elle se laissera convaincre d’offrir ses charmes à la vue des voyeurs occasionnels qui pourraient se présenter. Lorsqu’ils ...
... reprennent leur voiture pour rentrer au Coudray, Valérie boude un peu, n’éprouvant pas le besoin de s’exprimer sur leur soirée. Hervé se décide à détendre l’atmosphère un peu lourde qui s’est installée entre eux. • Charmante soirée tu ne trouves pas ma chérie ? Nous devrions les rencontrer plus souvent • Bien sûr – pour que tu puisses mater sous les jupes de mon amie – tu crois que je n’ai pas remarqué ton regard braqué sur les cuisses de Justine ? • Ah ! – mais je n’étais pas le seul, Henri ne s’est pas gêné pour reluquer la nudité de tes cuisses au-dessus de tes bas – il pouvait se régaler en voyant même ta culotte - d’ailleurs la prochaine fois, n’en mets pas, il pourra bander encore plus que ce soir. • Tu es un véritable pervers, je t’accorde quelques privautés et bientôt tu vas me demander de coucher avec Henri. • Tu pourrais trouver plus moche ma chérie – tu as vu comment il est bâti ! Oui, cela ne me déplairait pas de pouvoir te contempler te faire baiser par notre ami – tu sais bien que c’est ce que j’espère de toi. • Oui et toi tu iras baiser Justine, c’est cela que tu veux ? Hervé pense qu’il est temps de calmer le jeu. • Non mon amour – je la trouve mignonne avec de gros nichons, mais je ne veux pas te tromper, c’est toi que j’aime. Je veux seulement te voir jouir dans les bras d’autres hommes – tu le sais et Cédric et Paul t’ont prouvé que tu pouvais avoir encore beaucoup plus de plaisir qu’avec moi. À cette évocation, Valérie se sent fautive et se blottit près de son ...